ses CHAPITRE 8 : quelles mutations du travail et de l’emploi ?
Publié le 27/05/2024
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CHAPITRE 8 : quelles mutations du travail et de l’emploi ?
1.
À l'aide de deux arguments, montrez que le travail est source d'intégration sociale.
Le travail est une source d’intégration sociale.
Tout d’abord le travail se définit par l’activité de production de biens ou de services.
L’intégration
sociale se définit par un processus par lequel les individus établissent des liens sociaux au sein des différents groupes, et partagent des valeurs et
des normes qui favorise la cohésion sociale.
Nous pouvons alors dire que le travail est source d’intégration sociale car il permet une
reconnaissance et valorisation auprès des individus.
En effet, le travail offre l'occasion aux individus de se sentir valorisés et reconnus par leurs
proches pour leur contribution à la société.
Lorsque les efforts de chacun sont appréciés au sein de leur travail, cela renforce le sentiment
d'appartenance et favorise l'intégration sociale en encourageant les individus à s'investir davantage.
Mais il existe aussi une autre forme
d’intégration sociale.
Le travail favorise les relations et interaction avec autrui : par leur socialisation les individus interagissent au quotidien avec
leurs partenaires collègues clients… cela leur permet de développer des compétences sociales et de souder des liens sociaux.
Ces interactions
permet de partager divers expériences d’apprendre des uns des autres et de construire des relations de confiance.
Par exemple les réunions
sont source d’échanges, de collaboration.
en définitif, le travail est source de l’intégration sociale permettant à l’individu d’évoluer au sein de la
société.
2.
Présentez deux descripteurs de la qualité des emplois
Il existe plusieurs descripteurs de la qualité des emploie.
Tout d’abord la qualité de l'emploi désigne la façon dont l'emploi et l'exercice du travail
favorisent le bien-être du travailleur, est évaluée par des critères multidimensionnels, qui prennent en compte sa situation actuelle et à venir.
Le premier descripteur de la qualité des emplois est les conditions de travail, en effet elles déterminent la santé des travailleurs que ce soit physiquement
ou mentalement.
Le rythme de travail, par exemple, peut influencer le niveau de stress et de fatigue des employés.
Un rythme trop intense au travail peut
entraîner un épuisement chez le travailleur, tandis qu'un rythme trop lent peut entraîner de l'ennui chez le travailleur.
Mais notamment la durée de travail
doit être prise en compte, car des horaires extrêmes peuvent avoir un impact négatif sur la santé et la vie personnelle des travailleurs.
Le travail de nuit
aussi perturbe le rythme et la vie des travailleurs car cela dérègle leur sommeil et cela peut entraîner des problèmes de santé.
De plus, le contact avec des
produits dangereux pour la santé ou la nécessité de lever des charges lourdes peut augmenter les risques d'accidents du travail.
Et enfin, l’autonomie au travail doit être également pris en compte, cela permet aux travailleurs de prendre des décisions et de gérer leur temps de
manière plus flexible donc cela met une meilleure atmosphère au travail.
Le deuxième descripteur est le niveau de salaire.
Il évalue si la rémunération est
suffisamment élevée en comparaison des efforts fournis par le travailleur et de sa qualification.
En effet, une bonne rémunération est fondamentale pour
reconnaître leur valeur, leur utilité mais notamment leur travail.
Une rémunération juste permet aux travailleurs de subvenir à leurs besoins mais
notamment de s'engager dans des projets, ce qui l'intègre davantage à la société.
3.
En quoi le modèle d'organisation post-taylorien se distingue-t-il du modèle d'organisation taylorien ?
Le modèle d'organisation post-taylorien se distingue du modèle d'organisation taylorien de plusieurs manières.
Tout d’abord, le modèle d’organisation post-taylorien est un terme qui regroupe toutes les organisations du travail qui cherchent à augmenter la productivité par
l'implication des salariés dans leur travail, la réduction de la division horizontale et verticale du travail, la recherche de flexibilité.
Alors que le modèle d’organisation taylorien repose sur une organisation du travail « scientifique » reposant sur la division du travail horizontale c’est à dire la
parcellisation des taches, la division du travail verticale c’est à dire la séparation stricte entre les postes et....
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