QUO VADIS
Publié le 06/12/2021
                             
                        
Extrait du document
QUO VADIS
Réalisation Mervyn LEROY (1951)
Scénario John Lee MAHIN,
S.N. BEHRMAN et Sonya LEVIEN
D'après le roman de Henry SIENKIEWICZ
Directeur de la photographie Robert SURTEES
et William V. SKALL
(technicolor)
Décors Hugh HUNT
Musique Miklos ROSZA
Production Sam ZIMBALIST (MGM)
Distribution MGM (Cinema International
Corporation)
Durée 168 minutes
INTERPRÉTATION
Marcus Vinicius
Lygia
Petrone
Neron
Saint Pierre
Ursus
Poppée
L'esclave
Le Consul
L'HISTOIRE
essaye de sauver Lygie et Ursus qui, avec les chrétiens, ont été rendus responsables de l'incendie, mais il est arrêté sur l'ordre de l'Impératrice Poppée, la femme de Néron, dont il a repoussé les avances. Avec les chré-tiens, Lygie et Ursus sont livrés aux fauves ô dans l'arène, mais leur courage fait l'admi-ration de la foule, et les soldats de Marcus en profitent pour renverser Néron et le rem- e placer par le Général Galba. Marcus et Lygie ; renoncent à
«
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Réalisation 	..........
                                                            
                                                                                
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Scénario 	.............
                                                            
                                                                                
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·D'après 	le roman 	de 	...............
                                                            
                                                                                
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Décors Musique 
Production 
Distribution 
Durée 	
Mervyn  LEROY 	(1951) 
John  Lee MAHIN, 
S.N.
                                                            
                                                                                
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et  Sonya  LEVIEN 
Henry  SIENKIEWICZ 
Robert 	
SURTEES 	et  William 	V.
                                                            
                                                                                
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(technicolor) 
Hugh 	
HUNT 	Miklos 	ROSZA 
Sam ZIMBALIST  (MGM) 
MGM  (Cinema  International 
Corporation)  168  minutes 	
INTERPRÉTATION 	
Marcus  Vinicius 	.......
                                                            
                                                                                
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Lygia 	...............
                                                            
                                                                                
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Ursus 	...................
                                                            
                                                                                
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Robert 	TAYLOR 	Deborah  KERR 
Leo  GENN 	
Poppée 	.
                                                            
                                                                                
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                                                                    	........
                                                            
                                                                                
                                                                    	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
Peter 	USTINOV 	Finlay CURRIE 
Buddy 	BAER 	Patricia  LAFF 	AN 	Marina BERTI 
Felix  A 	YLMER 	L'esclave 	..........................
                                                            
                                                                                
                                                                    	.
                                                            
                                                                                
                                                                    
Le  Consul  .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                    .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                     .
                                                            
                                                                                
                                                                    	......
                                                            
                                                                                
                                                                    	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
L'HISTOIRE 	
En 	64 après  Jésus-Christ,  à Rome,  le 
Consul  Marcus  convoite  une esclave,  Lygie, 	
qui 	appartient 	à !'Empereur 	Néron, qui lui en 
fait  cadeau.
                                                            
                                                                                
                                                                     Mais Lygie 	s'échappe 	grâce  à la 
force  colossale 	de 	son ami,  le 	géant 	Ursus,  qui 
lui  est  tout  dévoué, 	et se réfugie  chez les chré
tiens.
                                                            
                                                                                
                                                                     Marcus  est bouleversé 	par 	la grandeur 	d'âme 	de 	ces  premiers  croyants 	et 	de 	leur 
chef,  Pierre, 	et 	renonce 	à faire 	de 	Lygie  son 
esclave.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Lorsque 	Néron, 	au 	cours 	d'une 	de 	ses 
crises  de folie, 	met 	le feu 	à Rome,  Marcus  essaye 	
de 	sauver 
Lygie 	et 	Ursus 	qui, avec  les 
chrétiens, 	ont 	été 	rendus  responsables 	de 	l'incendie,  mais 	il est 	arrêté 	sur 	l'ordre 	de 	l'impératrice 	Poppée, 	la femme 	de 	Néron, 	"' 	dont 	il a repoussé  les avances.
                                                            
                                                                        
                                                                     Avec les chré-	~ 	tiens,  Lygie 	et 	Ursus 	sont livrés  aux fauves 	§ 	dans 	l'arène, 	mais  leur courage  fait l'admi-	_J 	ration 	de 	la foule, 	et 	les  soldats 	de 	Marcus 	!1[ 	en profitent  pour renverser  Néron et 	le rem-	~ 	1 	~ 	p acer 	par 	le Général 	Galba.
                                                            
                                                                                
                                                                     Marcus 	et Lygie 	E 	renoncent 	à Rome 	pour 	vivre leur bonheur.
                                                            
                                                                                
                                                                    	u: 	
LA PETITE 	HISTOIRE 	
Oi c 0 -~ 	
Le best-seller  d' Henry  Sienkiewicz  avait fait 
l'objet 	de 	nombreuses  adaptations 	à l'écran au 
temps  du muet, 	la dernière 	(en 	1923)  avec 	la 	collaboration 	de 	Gabriele  d'Annunzio 	en 	per
sonne.
                                                            
                                                                                
                                                                     En 1949,  Louis 	B.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Mayer  et 	la 	MGM 	décidèrent  d'y consacrer 	le plus  gros  budget 
du  cinéma  américain  depuis AUTANT 	EN 	EMPORTE 	LE 	VENT.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Plus 	de 	sept millions 	de 	dollars,  somme énorme  pour /'époque.
                                                            
                                                                                
                                                                    
John  Huston  fut chargé  par 	le 	producteur 
Arthur  Hornblow  de tourner 	à Rome  avec 
Gregory 	Peck 	et  Elizabeth  Taylor.
                                                            
                                                                                
                                                                    Mais 	ce ne 
fut  qu'un  faux départ.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
z 	Le véritable  tournage  commença  en 	1950 	0 	dans 	les 	nouveaux studios 	de 	Cinecitta, avec 	_g 	un nouveau  metteur 	en 	scène, Mervyn  Leroy, 	o..
                                                            
                                                                                
                                                                    	une autre  interprétation  (Robert Taylor et 
Deborah  Kerr), et plus 	de 	cinq 	mille  cinq cents 	;;; 	figurants  (dont Sophia  Loren, que l'on  peut 	"' 	reconnaître  au passage).
                                                            
                                                                                
                                                                    	Le 	tournage  dura plus 	-~ 	de 	six mois,  et Mervyn  Leroy demanda 	à :§ 	Anthony 	Mann 	de diriger les séquences 	les 	plus 	1i> 	spectaculaires,  celles 	de 	/'incendie 	de 	Rome.
                                                            
                                                                                
                                                                    	::l 	Ce 	film colossal  rapporta 	à la 	MGM 	plus 	~ 	de 	vingt-cinq  millions 	de 	dollars.
                                                            
                                                                                
                                                                    	E G 	
____ 	.
                                                            
                                                                                
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