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QUO VADIS ?

Publié le 17/05/2020

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« Paru en 1895, ce livre eut un succès foudroyant ; en un an, la version anglaise se vendit à huit cent mille exemplaires .

Il a été traduit en une trentaine de langues et on en a tiré une pièce de théâtre, un opéra et trois films, dont une superproduction américaine, en 1951.

L'auteur a reçu le prix Nobel de littérature en 1905 .

« ••• plus rien qu'une nappe grise et immobile, à l'extrémité de laquelle la Ville, assise sur ses collines, brûlait.» Illustrations de Claude Tabet uo vadis? « Le sermon le plus persuasif du siècle » (Mgr Baudrillart) R orne tremble sous le cruel Néron ; la belle Lygie, fille du roi des Lygiens, est otage de Rome ; elle a été confiée à Pomponia, convertie au culte de Chrestos (le Christ), et est enlevée par Néron, qui la veut en son palais ; son intention est de lui faire épou­ ser le patricien Vinicius, qui est fou amoureux de la jeune fille, lui a dit son favori le poète Pétrone.

Le co­ losse Ursus, fidèle esclave de la princesse, réussit à la délivrer ; Lygie se réfugie dans une communauté chré­ tienne clandestine.

Vmicius retrouve sa trace et se sent attiré par cette religion.

Rome brûle; Néron, l'incen­ diaire, accuse les chrétiens du crime et va les livrer aux fauves.

Lygie est condamnée à cette horrible fin ; les jeux du cirque battent leur plein, lorsque Ursus surgit dans l'arène et réussit à libérer sa maîtresse qu'on avait attachée entre les cornes d'un buffle.

Sous la pression de la foule, Néron est obligé de les gracier tous deux.

Vinicius retrouve sa fian­ cée et se convertit à la religion chrétienne.

« Une Sienkiewite aiguë » C 'est la lecture des Annales de Tacite et un séjour à Rome qui incitent Sienkiewicz à situer son roman dans la Ville éternelle; avant d'aborder son œuvre, il se livre à de sérieuses recherches sur l'aube du christianisme et les persécutions.

Une ins­ cription à demi effacée sur la pierre d'une chapelle romaine lui donne son titre.

La légende veut que l'apôtre Pierre, fuyant les sbires de Néron, ait rencontré le Christ et, l'interrogeant : « Quo vadis, Domine ? » ( « Où vas-tu, Seigneur ? ») se soit entendu répondre : « Puisque tu abandonnes tes brebis, je retourne à Rome pour être crucifié à nouveau.

» Paru en France en 1900, Quo vadis ? fut salué avec enthou­ siasme par le public.

Le romancier Henry Bordeaux note : « Paris souffre d'une Sienkiewite aiguë.

» Anatole France y voit « l'expression stupide du néo­ christianisme polonais » ; Léon Daudet trouve que « les chrétiens y sont aussi vides et fantoches que leurs persécuteurs ».

Cette fresque à grand spectacle res­ pecte les normes du roman populaire, qui aime mêler l'amour au crime.

XrxesIÈCLg- A Rome, les premiers chrétiens vont subir les persécutions de Néron.. »

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