Question : Les révolutions scientifiques empêchent-ils la science de progresser ?

« Question : Les révolutions scientifiques empêchent-ils la science de progresser ? Il est de la nature de l’homme de ce questionné sur le monde et ces constituants.

Cependant, les réponses que l’on retrouve pour ces interrogations ne s’accordent pas toujours avec ce qui est véritable.

Pour cela, l’humain a développé une discipline qui permet de vérifier que les connaissances et les théories sont véritables.

La science a pour but principal de rechercher ce qui est vrai, mais plus généralement, la science constitue l’ensemble des connaissances et des notions que l’humain possède sur le monde.

Nos connaissances scientifiques sont pourtant loin d’être purement vrai, seulement, comme le dit Popper, ce sont les théories les moins fausses que nous avons sur les sujets en question.

Le rôle de la science selon Popper serait d’essayer de rendre nos théories moins fausses, et ainsi de nous rapprocher de la vérité.

En réalité, la définition que nous offre Popper s’incruste plus dans une compréhension moderne de la science, et cela inclus plusieurs domaine qui aujourd’hui sont considéré des domaines scientifiques, tel que les sciences sociale ou les sciences naturels. Ainsi, les sciences sont loin d’être exacte, et les innovations constantes à travers l’histoire en sont la preuve.

En temps normale ces innovations semblent se former progressivement, mais quelquefois, la situation en cours propose quelques problèmes que les méthodes traditionnelles ne peuvent résoudre.

Alors un changement brusque dans notre approche aux problèmes se manifeste, et il en résulte un nouveau paradigme qui bouleverse notre conception du monde.

Ces périodes sont marqués par une grande productivité scientifique et l’avancement de théories non orthodoxes qui dévoilent les lacunes de la théorie traditionnel.

Ces révolutions scientifiques, ou comme le nomme Kuhn, ces période de science extraordinaire brisent la période d’exploration et incite beaucoup d’opinion différent et de théories qui parfois impose une mauvaise représentation du monde (par exemple la notion d’Ether avancer par Newton pour tenter d’expliquer la nature du vide entre les planètes). Pour cela, peut-on dire que les paradigmes scientifiques interfèrent toujours positivement dans l’accumulation de nouvelles connaissances scientifiques ? Nous étudierons cette question en deux parties, la première montrera en quoi les révolutions scientifiques agissent au service du progrès scientifique et la définissent, pour ensuite analyser les instants où les paradigmes déroutent la progression cumulative de la science, tout en se. »