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Philosophie : Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations , Adam Smith

Publié le 23/03/2022

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« Philosophie : Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations , Adam Smith Question 1 : Adam Smith, né en 1723 à Kirkcaldy et mort en 1790 à Edimbourg, est un philosophe et économiste écossais reconnu dans son pays, notamment pour sa théorie de la « main invisible ».

Pour ce philosophe, l’état ne doit intervenir uniquement à travers des fonctions régaliennes comme le police, l’armée et la justice.

Il publia « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations » en 1776.

Dans cet ouvrage, l’auteur y fait l’analyse des origines de prospérité récentes de certains pays, en prenant comme exemple l’Angleterre ou encore les Pays-Bas.

Il y développe plusieurs théories économiques, examine plusieurs systèmes d’économie politique et y développe aussi l’idée d’un ordre naturel, le « système de liberté naturelle », qu’il va expliciter dans cet extrait .Cet ouvrage représente aussi pour certains le document fondateur de la théorie classique en économie, ou encore du libéralisme économique. Question 2 : Pour Adam Smith, la contribution de l’individu à la prospérité de la société n’est clairement pas volontaire.

En effet, pour l’auteur, l’individu ignore totalement l’impact qu’il peut avoir pour le bien commun : « A la vérité, son intention, en général, n’est pas en cela […] il ne sait même pas jusqu’à quel point il peut être utile à la société.

» (ligne 7-8).

Il déclare donc une forme d’ignorance de la part de tous les individus de la société vis-à-vis de leur participation dans l’économie de celle-ci.

De plus, ligne 13, il nous dit : « une fin qui n’entre nullement dans ses intentions ».

L’impact des individus n’est donc pas intentionnel et exempter de toute responsabilité.

On a donc une forme d’inconscience nourrit par la recherche de l’intérêt personnel de chaque individu mais qui n’empêche pas un réel impact sur la société.

De ce fait, les individus conservent une forme de liberté en terme de travail tout en servant à bien commun.

Ils peuvent continuer à ne voir que leur intérêt personnel tant qu’ils servent au bien commun inconsciemment en même temps.

Pour l’auteur, cette liberté laissée aux individus n’influence en aucun cas l’intérêt de la société.. »

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