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philo temps dissertation

Publié le 23/03/2022

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« Au premier abord nous supposons que nous sommes contraint à être soumis au temps, nous en sommes les prisonniers.

Cela signifierait que nous n’avons aucun contrôle sur lui et que nous sommes notamment enfermés et dominés par ce dernier, c’est ce que l’on entend lorsque l’on parle d’être prisonnier par quelque chose.

La prison est un lieu où vit le prisonnier, ainsi le temps peut être notre cadre de vie, un cadre temporel dont nous ne sortons pas mais au sein duquel nous vivons.

Nous ne pouvons en effet pas le contrôler ou le manier à notre guise, lorsque nous sommes en retard à un rendez-vous nous ne pouvons pas arrêter le temps pour arriver à l’heure.

Ainsi nos activités et nos choix sont décidés et réalisés en fonction de ce dernier qui exerce par ce fait une forme de dominance sur nous.

De plus le temps étant un milieu indéfini où se déroulent une successi on d’éventements, on peut le découper en trois dimensions : le passé, le présent et le futur comme par exemple le fait qu’ hier je sois partit voir un film, ou encore le fait que demain je me repose.

Nous vivons ainsi réellement dans l’instant présent, entouré de part et d’autre du passé et du futur, deux dimensions inatteignable, soit par le fait qu’il se soit écoulé et donc que l’on ne puisse plus y revenir soit du fait qu’il ne soit pas encore arrivé.

Par ce fait l’homme est enfermé et condamné à vivre dans la présent entre deux moments inaccessible et insaisissable .

Une fois encore le temps nous domine, nous ne pouvons pas modifier quelque chose qui c’est produit, nous devons le subir , si par exemple je me suis tromper de train et que je m’en rends compte trop tard, je ne peux pas revenir en arrière.

Nous ne pouvons pas non plus éviter l’inévitable, si nous ne savons pas que notre bus sera en avance, nous ne le serons pas tant que nous ne l’aurons pas raté.

Ainsi, l'homme est condamné à vivre dans le temps, sans pour autant avoir le contrôle de ce denier, le « voyage » dans le temps étant impossible.

En effet l’homme est contraint au temps , il est dominé par ce dernier et est impuissant face à son écoulement régulier.

Le temps s’écoule à la même vitesse pour tout les hommes.

Le matin nous nous réveillons tôt pour partir au travail et rentrons le soir et dormons, c’est une boucle temporelle.

Nos activités sont alors guidé par ce dernier, lorsque nous voulons faire plusieurs choses dans la journée, le manque de temps peut nous ralentir, voir nous arrêter dans nos actions.

Ainsi le temps est quelque chose qui s’écoule indépendamment de nous.

Nous vivons à sa merci, pour que la finitude de notre vie ne soit même pas notre propre choix.

L’homme connaît trois phases dans sa vie : la naissance, la croissance et la mort.

C’est le temps qui a mis au monde cet être humain mais c’est également lui qui lui hôte la vie.

Toutes les difficultés, tout les efforts que nous fournissons lors de notre existence façonné par le temps mène à la même finalité, quelqu’un qui aura sacrifier des années de sa vie pour avoir un bon métier et un bon salaire, aura sacrifier sn .

L’homme voudrait ainsi échapper au temps, mais nous n’échappons jamais au temps, voir ce temps s’écouler sous nos yeux pour nous mener à la mort peut créer en nous une forme d’angoisse et de peur face à la vie.

Or craindre la mort et ainsi ne pas vivre pleinement, nous éloignerait d’une vie bienheureuse, c’est ce qu’affirme le philosophe Épicure « Accoutume-toi à penser que la mort n’est rien pour nous », en effet suivant sa recommandation, il faut s’exercer et travailler sur nos pensées,la mort n’est ni un bien ni un mal et est quelque chose d’extérieur à la vie, une idée de vie immortelle est alors convoitée par certains.

Ainsi le temps par ce sens à cette forme de supériorité sur nous, il nous use, comme par le fait que notre santé ce détériore avec l’âge mais ce temps lui est éternel et inusable, il nous rend parfois moins productif et peut nous procurer une forme de mal être par le fait de connaître ce qui nous attend.

Nous sommes donc justifié à penser que le temps nous emprisonne, il nous domine et nous ne pouvons pas le contrôler ou revenir dessus, c’est en effet une ligne continue qui, du passé , s’avance vers le futur nous menant à la mort.

En ce sens le philosophe Jankélévitch dans son ouvrage « L’irréversible et la nostalgie », nous fait par de ce temps linéaire.

Dans cet extrait de son ouvrage, l’auteur nous raconte la revenu de Ulysse, après vingt ans loin de sa patrie et de sa femme, chez lui à. »

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