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dissertation philo conscience

Publié le 09/06/2022

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conscience

« Dissertation philo connaissance vient du latin cognito qui veut signifie « action d'apprendre » .

elle se définie par l'activité par laquelle l'homme prend acte des données de l'experience et cherche à la comprendre ou à les expliquer.La connaissance satisfait un désir pur de savoir sans se préoccuper de l'utilité pratique.

La conscience est l'intuition plus ou moins claire que le sujet a de ces actes, ces pensées et de ses sentiments.

Cela vient du latin « cumscientia » qui veut dire avec savoir.

C'est la faculté qui nous oriente dans notre vie quotidienne dans les obstacles qui nous entoure.

Pour le philosophe Jjean jacques rousseau la conscience serait une faculté divine et instinctive de l'homme ».

cette faculté se manifeste sous deux formes, la conscience immédiate qui renvoie au sujet qui se pense lui-même comme conscient de quelque chose et la conscience réfléchie qui est la capacité de faire le retour sur ses pensées ou actions et donc de les analyser ou de les juger.

La conscience fait donc de l'homme un un sujet capable de penser le monde qui l'entoure.

Le verbe garantir veut dire répondre assurer de la qualité, de la fiabilité de quelque chose.

Pour aller vers la connaissance nous devons prendre conscience des facultés qui nous permettent de connaître, et maîtriser leurs fonctionnements.

Ces facultés sont la sensibilité, l'imagination, l'entendement, la raison et la volonté.

Dans cette dissertation nous verrons si la conscience nous garantit la connaissance de nous même.

Dans un premier temps Nous allons démontrer que la conscience permet la connaissance de nous même.

Puis nous verrons les limites de cette thèse. On pourrait penser de prime abord que la conscience nous permet le connaissance de nous même. En effet la conscience est equivalente à la pensée.

elle s'exprime de soi-même à soi même.

nous sommes des êtres doter d'une conscience, c'est le propre de l'homme, elle nous différencie de l'animal.

ainsi la conscience constitue la grandeur de l'homme.

Le philosophe Descartes rejette toute la scolastique, c a dire la philosophie et la théologie enseignées dans les écoles ecclésiastiques et les universités.

Cette doctrine est figé et dogmatique.

En écartant cette rigidité intellectuelle Descartes remet en doute l'ensemble de nos connaissances afin de trouver une vérité incontestable pour fonder la connaissance.

Il dit « je peux douter de tout mais je ne peux pas douter du fait que je doute.

Or douter c'est penser et penser c'est être un être qui pense.

Je pense donc je suis », en latin « dubito ergo cogito, cogito ergo sum ».

C'est la première certitude de Descartes.

Cette citation veut dire que quand bien m^me tout ce que je pense serait faux, le fait de penser veut dire que j'existe et renvoie à la conscience.

Descartes nous apprend que la conscience de soi est la première vérité, la première certitude, ce que l'on connaît le mieux.

A partir de cette vérité il rebâtira la philosophie pour la faire aboutir à des certitudes. De plus, la connaisance de soi demande une observation de soi.

C'est ce que pense socrate en disais « connais-toi, toi-m^me » en latin « Gnothi seauton ».

pour lui la connaissance de nous m^me demande un effort de conscience, d'introspection.

C'est une invitation à nous connaître.

C'est en se connaissant, en cherchant en lui-même, que l'homme peut trouver la sagesse.

Chacun possède un savoir en lui, il suffit de le chercher.

La maïeutique est une voie d'accés à la connaissance.

La maïeutique est l'interrogation qui amène le sujet à retrouver la vérité par ses propres forces, sans qu'elle lui soit enseignées ou transmises.

Socrate nous invite à être le juge personnel de nos propres pensées et ce afin de se connaître Cependant cette conception de la connaissance de nous m^me souffres de limites évidentes.

En effet malgré la démonstration du cogito, Descartes doute de tout.

Il pratique ce qu'on appelle le doute hyperbolique.

Ce doute et méthodique car il choisi de douter, il ne subit pas.

DESCARTES se demande si nous pouvons nous appuyer sur nos expériences sensorielles pour penser avec certitude. Il arrive à la conclusion que non.

Il prend en exemple un bâton plongé dans l'eau.

Quand on regarde ce baton nos yeux nous rapporte le message qu'il est brisé, c'est une illusion d'optique.

Nos sens nous trompent.

Leibnitz identifie également une limite fondamentale à la conscience dans le phénomène de la connaissance c'est l'inconscient perceptif ou cognitif.

Notre perception (avec nos 5 sens) est la porte d'entrée du réel dans notre esprit.

Lorsque nous apercevons quelque chose nous. »

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