philo

«     Lundi 24 septembre 2012                                                                                          Philosophie                                                              Dans le texte d'Aristote , Éthique   à N écomaque  , la th èse est d éfinie  à la ligne 1 , 2 « Mais   le choix n'est certainement pas non plus un souhait, bien qu'il en soit visiblement fort voisin ». On   pourrait alors que la th èse de ce texte nous emm ène vers le th ème du d ésir et du bonheur . On   constate qu'Aristote pense que le choix et le souhait sont deux id ées diff érentes . Par ailleurs on   observe que ce texte s'appuie sur 3 argument illustr és par des expliquer . Pour effectuer notre analyse   nous partirons sur un plan lin éaire . Dans un premier temps nous ferons l'analyse lin éaire de la ligne   1  à4 o ù Aristote d éfinie le souhait . Dans un deuxi ème temps nous verrons la d éfinition du choix   pour Aristote . Enfin de la ligne 8  à 13 nous verrons le message qu'il veut faire pass é au lecteurs   pour qu'ils soutiennent sa th èse      De la ligne 1  à 2 on observe qu'Aristote d éfinie sa th èse qui est le d ésir et le bonheur . Par ailleurs   de la lignes 2  à 3 on constate que l'auteur va nous d éfinir la limite de la notion du choix qui est «    Il   n'y a pas de choix , en effet , des choses impossibles et si on pr étendait faire porter son choix sur elles   on passerait pour insens é .

  » cela para ît invraisemblable  car on ne peut pas faire des choix sur des   choses qui paraissent impossibles du fait que l'on ne dispose pas de moyens pour y parvenir c'est pour   cela que ces choses sont impossibles  , on pourrait dire alors qu'elle nous renvoie au th ème de «   l'immortalit é   » . Par ailleurs de la ligne 3 et 4 on constate qu’Aristote nous livre une d éfinition de ce   qu'est le souhait . Le souhait peut nous emmener vers des choses qui paraissent impossible . On peut   dire alors que le souhait est l'opposer du choix , car le souhait ne poss ède pas de limites du fait qu'elle   peut nous renvoyer a un d ésir futur .       Par ailleurs de la ligne 4  à 6 on constate qu'Aristote  veut nous faire comprendre  à l'association  . »