Databac

Philo

Publié le 17/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Philo Ce document contient 687 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie.

« Lemaire Anaïs TL1 Philosophie L’obéissance est quelque chose que l’on rencontre très tôt.

En effet, dès l’enfance, nous sommes contraints d’obéir à nos parents.

Leur rôle est d’exercer une autorité sur leur enfant.

Car l’enfant est encore immature.

Ainsi, le rôle des parents est de fournir un encadrement afin de l’aider à s’intégrer dans la société.

Pour cela l’enfant obéi inconsciemment à ces règles.

De plus l’enfant est obligé d’aller à l’école où un maître lui enseignera son savoir-faire et ses connaissances.

A l’école l’enfant est confronté à la discipline.

Il devra soumettre son corps à certaines règles comme : « assieds- toi ! ».

Jusqu’à sa majorité l’enfant devra se contraindre à exécuter ces règles.

C’est du point de vue de la loi, le moment où il est assez mature pour être autonome.

Comme l’as dit Descartes : « la liberté de notre volonté se connait sans preuve, par la seule expérience que nous en avons ».

Cependant le sentiment de liberté est d’autant plus fort quand on ne peut pas l’atteindre complétement et qu’on en est privé.

L’obéissance va donc contre la nature d’Homme libre.

C’est pesant pour une enfant, il est donc pressé d’être adulte pour être libre.

Mais quand on est adulte, on doit travailler pour gagner sa vie, donc nous ne sommes pas totalement libre.

L’adulte a lui aussi des règles à respecter, une hiérarchie à suivre, il est aussi soumis à la loi jusqu’à la fin de sa vie.

On constate que quand on est enfant on veut être adulte pour échapper à l’autorité mais qu’en étant adulte on veut redevenir un enfant pour ne plus avoir à subir les obligations.

Il n’y a pas de société sans obéissance.

S’il y a une possibilité d’échapper à toute obéissance on peut donc se poser la question suivante : Qu’est-ce que l’Homme sans obéissance ? Comme on l’a dit auparavant, s’il y a une société il y a forcément une obéissance qui va avec.

Donc pour ne plus être soumis à celle-ci il ne faudrait plus de société.

Thomas Hobbes pense que la nécessité de vivre en société pousse l’Homme à renoncer à sa liberté.

Un être humain sans éducation serait à l’état de nature, redevenu sauvage.

Mais même à l’état de nature l’Homme ne serait pas totalement libre, ça serait la loi du plus fort.

Car il devrait se battre contre les autres bêtes féroces pour survivre.

C’est un cercle vicieux.

On peut se demander si la liberté existe vraiment. Comme l’as dit Rousseau « l’Homme est né libre et partout il est dans les fers.

».

Il semble dire que la liberté n’a jamais existée.

La liberté serait donc une illusion absolue de l’homme.

Cependant elle fait quand même partie de sa nature.

Ce qui distingue l’Homme, ce qui fait de lui un Homme reste sa liberté.

Selon Rousseau la loi est l’une des conditions nécessaires à la liberté.

On ne peut pas être certains que la liberté ait vraiment existée, cela ne reste qu’une hypothèse.

L’homme à l’état de nature est un animal solitaire donc Rousseau dit de lui que « c’est une animal stupide et borné ».

Pour lui « stupide » signifie que sa raison n’est pas sollicitée et donc elle ne peut pas se développer.

Il entend que par « borné » que ses besoins se limitent à manger et à dormir.

Il serait donc facile à satisfaire.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles