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Népal (1998-1999) La fin des coalitions

Publié le 20/09/2020

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« Népal (1998-1999) La fin des coalitions Le 10 décembre 1998, le Parti marxiste-léniniste (ML) s'est retiré du gouvernement de coalition de Girija Prasad Koirala (Nepali Congress).

Après avoir, depuis l'instauration du multipartisme en 1990, épuisé toutes les coalitions possibles avec des petits partis de plus en plus exigeants, les deux principales formations rivales - Nepali Congress et Parti marxiste-léniniste unifié (UML) - ont constitué un cabinet de transition toujours sous la direction de G.P.

Koirala, afin de préparer les élections législatives des 3 et 17 mai 1999.

Le Nepali Congress y a obtenu la majorité absolue, permettant la formation d'un gouvernement homogène dirigé par Krishna P.

Bhattarai (74 ans). La guérilla du Parti maoïste (CPN-M) a multiplié les exécutions de militants du Congress et de villageois, s'en prenant désormais également à des membres d'autres partis communistes.

Elle a aussi revendiqué plusieurs attentats à la bombe au c œur de Katmandou.

Depuis 1996, la "guerre populaire" et les opérations policières auraient fait au total plus de 600 morts. Alors que la famine avait frappé certaines zones de haute montagne durant l'hiver 1997-1998, la bonne récolte de novembre-décembre 1998 dans le Sud a permis au Népal d'exporter du riz vers le Bangladesh.

Les prévisions pour 1999 restaient cependant très pessimistes après la longue sécheresse du printemps.

Un nouveau traité commercial a été signé avec l'Inde le 5 janvier 1999, qui renouvelle les facilités de transit pour les échanges népalais avec des pays tiers.

Les donateurs étrangers se sont inquiétés de la mauvaise gestion des aides au développement, la Banque mondiale suspendant plusieurs projets d'envergure dont l'un concernait l'alimentation en eau potable de la Vallée de Katmandou.

De nombreux scandales politico-financiers (abus de biens sociaux et d'autorité) ont été mis au jour et sanctionnés, révélant l'influence croissante de la presse et de la Cour suprême dans la démocratie népalaise.. »

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