Databac

L'huître, Francis PONGE, Le partit pris des choses, lecture linéaire

Publié le 21/06/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : L'huître, Francis PONGE, Le partit pris des choses, lecture linéaire. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Fiches de lecture.

« L’Huître, Francis PONGE Introduction : Francis PONGE , poète majeur du Xxè siècle, écrit des poèmes en prose, il c’est donc libérée et affranchit des règles de la versification.

Alors qu’il est engagé dans la résistance, PONGE publie son recueil Le Partit pris des choses qui rassemble des poèmes écrit dans la période de l’entre-deux-guerre (1924-1939).

Le titre de son recueil annonce un projet poétique particulier : l’auteur s’intéresse aux choses , aux objets, délaissant ainsi les épanchements de sentiment au profit d’une poésie plus objective.Dans le poème « L’Huître », le poète observe et décrit l’univers inattendu du mollusque marin. LECTURE PB : De quelle manière la description de l’huître dans le poème fait-elle un objet digne d’éloge ? I- Le poète décrit de manière quasi scientifique l’apparence de l’huître et la marche à suivre pour l’ouvrir.

(l.1 à 8) II- Le poème entre dans le monde de l’huître, et en révèle toutes les richesses.

(l.9 à 15) I- Le poète décrit de manière quasi scientifique l’apparence de l’huître et la marche à suivre pour l’ouvrir (l.1 à 8) l.1 → « l’huître » → reprise du titre dès le premier mot du poème → pas de recherche de mystère poétique, le sujet est dévoilé dès les premiers mots. l.3 → « un monde opiniâtrement clos » → métaphore qui associes l’huître à un monde qui veut rester fermer → déjà l’huître commence à apparaître comme autre chose qu’un galet, elle a une volonté, elle reste fermée pour protéger le monde qu’elle renferme = objet plus mystérieux , plus précieux qu’à la l.1 l.7 → « rond blancs » → périphrase pour désigner les marques laissées sur la coquille de l’huître → la forme ronde, parfaite, s’oppose à la rugosité de la l.2 et la blancheur des marques s’oppose à la couleur blanchâtre de la l.2 = sous les coups, l’huître commence à révéler sa beauté , son harmonie. l.8 → « une sorte de halos » → comparaison des marques des coups a des cercles lumineux → les blessures de l’huître sont sublimées et revêtent un caractère presque divin. Tr : Alors que le poème commence comme une description quasi-scientifique du mollusque, peut à peut l’huître révèle ses trésors cachés.

Ils vont apparaître dans le second paragraphe, où l’intérieur de l’huître y est décrit. II-Le poème entre dans le monde de l’huitre et en révèle toutes les richesses (l.9 à 15) l.9- « à l’intérieur » complément circonstanciel de lieu → l’huître est ouverte l.9- « à boire et à manger » → jeu de mots sur le sens littéral et le sens figuré → jus à boire et mollusque à manger, mais aussi expression familière pour désigner une. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles