Les plantes

« Les forets tropicaux eux forme des fruits, et a leur tour les primates les consommes.

En rejetant les graines de ces fruits, les primates donnent naissance à de nouvelles plantes tropicales puisque ces graines rejeter vont germer dans le sol.

Il s’agit d’un cycle coévolutif intituler le cycle de mutualisme animal récepteur et plante.

Cela nous pousse à se demander, comment s’explique le lien existant entre le régime alimentaire de ces primates et la nature des fruits tropicaux dans l’environnement.

Le fruit d’une plante est issu de la transformation du pédoncule floral.

En effet il s’agit d’un ovaire qui a grandit et qui ses égorger de nutriment.

D’après le document 4 on remarque que ce dernier évolue en fonction des différents modes de dissémination utilisés par la plante.

La dissémination des fruits consiste d’éloigner les graines du fruit et même la plante afin de se reproduire.

Certains fruits ne sont pas mangés par les animaux, ils peuvent tomber au sol et les graines peuvent germer.

Mais dans le cas des plantes a fruit sucrée (abondant dans les forêts tropicales, environnement plein de primate) il y a dispersion des graines par les animaux après avoir mangé un fruit, et rejeter ses graines.

On parle de dissémination animale. Le document 3 est une étude de la germination des graines dans la réserve forestière de Kibale.

On remarque que quand les graines sont au pied de l’arbre il y a une baisse de la capaciter à germer des graines.

En étudiant la capaciter de différentes graines de plante à germer au pied de l’arbre, on remarque que certaines espèces de plantes ne sont d'ailleurs capables de ne germer qu'après avoir traversé l'intestin d'un animal.

On peut alors dire qu’il y a une spécificité a la dissémination animale, puisque ces graines contiennent des tanins qui entraînent un transit plus rapide à travers les tubes digestifs des animaux, et donc germe la plupart du temps seulement dans le cas d’une dissémination animal.

On dit alors que ces plantes tropicales dépendent des primates afin de se reproduire, mais aussi les primates dépendent des plantes puisqu’il s’agit de leur régime alimentai (les fruits). Tout comme les plantes évolue, on remarque ainsi une évolution des primates tropicaux.

Les plantes Tropic lors de la maturation des fruits (document 2) il y a des changements biochimiques.

En effet ce dernier transforme l’amidon en sucre simple et formes des arômes et ramolli le tissue (enzyme : polygalacturonase).

C’est changement dans une plantes vas attirer les primates et leur permet de développer un gout envers les fruits sucrés.

Aussi, les plantes à fruits sucrée développent lors de leur maturation des pigments rouge comme la lycopène. Dans le document 5 on étudie l’évolution synchrone des primates et planes, à partir de la vision des couleurs par les animaux.

Or après avoir comparer le spectre des dichromates et trichromates, on remarque que les dichromates ne peuvent pas distinguer le vert du rouge, et que les trichromates peuvent.

Ainsi les trichromates peuvent distinguer entre les fruit rouge et vert et donc mur et non murs.

D’autre part, le gout du sucre dépend de la sécrétion d’endorphines des hormones qui ramène le plaisir, et donc les primates on plaisir a consommé ses fruits. On remarque alors l’évolution des primates, ainsi leur régime alimentaire évolue en synchrone avec les fruits des plantes.

Ils subissent ainsi une évolution au sein du gout, et même du cerveau puisqu’ils prennent plaisir à certain fruit sucré.

La dissémination des plantes ayant des graines dépendant des animaux, ce fait à travers les primates et leur mobilité.

Tout comme ces fruits dépendes des animaux, il aussi affect ces animaux, et permet leurs évolutions.

En effet, elle leur donne un sens de gout spécifique au fruit sucrée mature. Ont conclue alors que cette coévolution est due à la spécificité des fruits tropicaux et les régimes alimentaires des primates.

Il y a donc de la dépendance des primates sur les plantes et vice versa créant une coévolution.. »