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Le problème du Bien et du Mal - Commentaire de L'Ingénu de Voltaire

Publié le 26/01/2021

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Les derniers paragraphes de L'Ingénu se livrent d'ailleurs à une revue de tous les personnages et des bénéfices qu'ils ont retirés de leurs aventures. Les médiocres obtiennent des avantages matériels : des présents plus ou moins importants en relation étroite avec leur caractère et leur fonction sociale (l'amie de Versailles garde les pendants d'oreilles, le père Tout-à-tous reçoit des friandises et des livres de piété, les abbés de Kerkabon et de Saint-Yves « eurent chacun un bon bénéfice »).

« Le problème du Bien et du Mal La signification des contes de Voltaire est plurielle, ce qui en fait ,a richesse.

Nous n'aborderons ici que la question philosophique de la Providence et du hasard, du Bien et du Mal.

Politique et reli­ gion ont été traitées dans les objectifs de la satire (➔ PROBLÉMA­ TIQUE 2, p.

28) et le débat entre nature et culture au chapitre consacré au mythe du bon sauvage (➔ PROBLÉMATIQUE 3, p.

42).

VOLTAIRE ET LA PROVIDENCE 1 Un débat toujours présent La Providence se définit comme le sage gouvernement de Dieu sur la création et notamment la juste répartition du Bien et du Mal.

En effet, force est de constater l'existence du Mal dans les cala­ mités naturelles, les injustices, les horreurs de la guerre ...

Le débat est le suivant : comment concilier l'existence du Mal avec la bonté du Créateur? Les réponses proposées par les penseurs face à ce-dilemme sont diverses.

Les optimistes ou providentialistes soutiennent que Dieu n'a pas eu le pouvoir de créer un monde parfait, puisque le monde dans lequel nous vivons n'est visiblement pas parfait.

II a donc fait en sorte que le mal commis sur terre soit compensé par un bien plus grand.

C'est la philosophie du grand penseur allemand Leibniz (1646-1716) condensée dans la célèbre formule « le meilleur des mondes possible ».

Voltaire connaî� surtout la pen­ sée leibnizienne par un de ses vulgarisateurs, Wolf.

La thèse. »

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