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Le mot "définir" dans l'oeuvre de DESCARTES

Publié le 16/05/2020

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« Le mot "définir" dans l'oeuvre de DESCARTES Règles pour la direction de l'esprit, Règle quatorzième. En effet, quoiqu'on puisse dire d'une chose qu'elle est plus ou moins blanche qu'une autre, d'un son qu'il est plus ou moins aigu, et ainsidu reste, nous ne pouvons cependant exactement définir si cet excès est en proportion double ou triple, sinon par une analogiequelconque à l'étendue du corps figuré. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, Méditation Sixième. Mais afin qu'il n'y ait rien en ceci que je ne conçoive distinctement, je dois précisément définir ce que j'entends proprement lorsque je disque la nature m'enseigne quelque chose. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, REPONSES DE L'AUTEUR AUX QUATRIEMES OBJECTIONS, REPONSE A L'AUTRE PARTIE, REPONSE AUX CHOSES QUI PEUVENT ARRETER LES THEOLOGIENS. Et certes ce n'a point été ici mon dessein de rien définir touchant la nature des accidents, mais j'ai seulement proposé ce qui m'a sembléd'eux de prime abord ; LES PASSIONS DE L'AME, PREMIERE PARTIE, ARTICLE 27. Après avoir considéré en quoi les passions de l'âme différent de toutes ses autres pensées, il me semble qu'on peut généralement lesdéfinir des perceptions ou des sentiments, ou des émotions de l'âme, qu'on rapporte particulièrement à elle, et qui sont causées, etentretenues, et fortifiées par quelque mouvement des esprits. Correspondance, année 1639, Au R.

P.

MERSENNE, 9 janvier 1639. car après avoir démontré (comme je pense avoir fait) qu'il n'y a point de centre de gravité dans les corps selon la définition des anciens,je le devais définir d'une autre façon, auparavant que de dire quel il est en une sphère. Et je pourrais le définir en telle sorte qu'il se trouverait plus éloigné du centre de la terre que n'en est le centre de la figure ; Correspondance, année 1645, A MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, Septembre 1645 (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 6 octobre 1645.). Mais il faut que j'examine plus particulièrement ces passions, afin de les pouvoir définir ; Correspondance, année 1647, REMARQUES SUR LE TITRE, REMARQUES SUR CHAQUE ARTICLE. Dans le premier article, il semble vouloir définir cette âme raisonnable, mais il le fait fort imparfaitement ; Correspondance, année 1649, REPONSE DE Monsieur DESCARTES A Monsieur MORUS, 5 février 1649. Voyons présentement si on ne pourrait pas mieux le définir une substance impénétrable ou tactile dans le sens que vous l'expliquez. et par conséquent comme on ne définit point l'homme un animal risible, mais raisonnable, on ne doit pas aussi définir le corps par sonimpénétrabilité, mais par l'étendue, d'autant plus que la faculté de toucher et l'impénétrabilité ont relation à des parties, et présupposentdans notre esprit l'idée d'un corps divisé ou terminé, au lieu que nous pouvons fort bien concevoir un corps continu d'une grandeurindéterminée ou indéfinie, dans lequel on ne considère que l'étendue. Correspondance, année 1649, A Monsieur CLERSELIER, 15 avril 1649.

(Les éditions contemporaines datent cette lettre du 23 avril 1649.). , j'aurais pu ajouter veritatem, perfectionem, ordinem, et plusieurs autres dont le nombre n'est pas aisé à définir.. »

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