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le bonheur (résumé de cours)

Publié le 06/10/2021

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« le bonheur L'essentiel du cours Ehomme a une double na�cM( : ê�N( de sensibilité aspiran� au bonheur, c'est aussi un ê�M( de raison qui sai� que ce bonheur ne serait rien s'il l'amenait à nier l'exigence morale.

Le bonheur, état de satisfaction durable • Le bonheur, ce n'est pas simplement le plaisir ponctuel.

« Une hirondelle ne fait pas le printemps, ni non plus un seul jour» (Aristote) : la vie heureuse n'existe que dans la durée. • Pour les épicuriens, si le plaisir est essentiel au bonheur, certains désirs ap­ portent plus de troubles que de joie : il faut les écarter, et se-contenter des désirs naturels et nécessaires. • Pour les stoïciens, s'il dépend des circonstances extérieures, le bonheur ne saurait être durable : je dois apprendre à discipliner ma volonté pour ne dépendre que de moi, au lieu de livrer mon bonheur aux caprices de la fortune. Le bonheur, idéal de l'imagination • Selon Kant, la raison enseigne ce qu'il faut faire pour éviter d'être malheureux, non ce qu'il faut faire pour être heureux.

Le bonheur étant l'idéal d'une satisfaction maxi­ male, je ne peux jamais savoir si je l'ai atteint.

Il est un « idéal de l'imagination » : comme nous ne pouvons le définir, l'entendement ne peut déterminer les moyens pour y conduire.

Alors, sa quête doit-elle être la suprême motivation de l'existence ? • Kant montre que celui qui fait son devoir par intérêt, et non par pur respect pour ce que la morale commande, n'a que l'apparence de la moralité : c'est ce qui distingue les actions réellement accomplies par devoir de celles qui ne sont que conformes au devoir.

Si donc j'agis pour être heureux, alors mon acte n'est pas moral.

• Pour agir moralement, la sensibilité doit être« humiliée » : respecter le devoir moral, c'est agir de façon désintéressée, ce qui exclut de satisfaire nos intérêts sensibles.

La recherche d'une vie droite ne promet pas une vie heureuse, car l'im = pératif de la moralité passe toujours avant la recherche du bonheur.

le bonheur repose sur une espérance de la raison • Comme le devoir et le bonheur sont incompatibles en cette vie, comment ne pas désespérer de la loi morale, nous qui aspirons à être heureux ? On doit alors espérer qu'un Dieu récompense après la mort une vie morale, en l'alliant à un bonheur dont la vertu est la cause.

Cette alliance est pour Kant le « souverain bien » : si l'eîûstence de Dieu et l'immortalité de l'âme échappent à la démons­ tration (raison théorique), ce sont deux postulats exigés par la raison pratique.. »

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