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La vie de Flaubert

Publié le 10/06/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : La vie de Flaubert Ce document contient 1500 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Biographies. Le 1er septembre 1864, Flaubert commence la seconde Éducation sentimentale, qui paraît en 1869 et qui est un échec. Ruiné par la guerre et par le ménage de sa nièce Caroline, durement éprouvé par la mort de sa mère (1872), il reprend La Tentation de saint Antoine et commence Bouvard et Pécuchet (1874). Il compose les Trois Contes : La Légende de saint Julien l'Hospitalier (1875-1876), Un cœur simple (1876) et Hérodiast 1877). Les jeunes écrivains « naturalistes » le reconnaissent comme un maître : il exerce notamment sur Maupassant une sorte de direction intellectuelle. Le 28 mars 1880, Concourt, Zola, Daudet, Charpentier, Fortin et Maupassant viennent lui rendre visite à Croisset, avant la parution, en avril, des Soirées de Médan. Cependant la situation matérielle de Flaubert est de plus en plus précaire. Il meurt le 8 mai 1880 d'une hémorragie cérébrale.

« La vie de Flaubert L'écrivain ne doit laisser de lui que sés œuvres .

Sa vie importe peu.

Arrière la guen ille! /lettre à Ernest Feyd eau, 21 aoû t 1859) 11 L'IDIOT DE LA FAMILLE ,, Gustave Flaube rt naît le 12 décemb re 1821.

Son père, Achille­ Cléop has, était chirurgien en chef de l'Hôte l-Die u de Rouen.

Alors que le fils aîné, Achille (né en 1813), incarne tous les esp oirs de la fam ille (il dev iendra chi rurgien comme son père), le jeune Gustave est un peu délaissé et conna ît une enfa nce mo rose dans le cadre assez triste de !'Hôte l-Dieu : une de ses distractions favorites est d'aller , en compa ­ gni,ll de sa jeune sœur Caro line, obs erve r les cadavres à la morgue .

Sa fam ille s'.inquiète parfois de son état de • stupeur » el il semble avoir des difficu ltés de comm unication avec son entour age ; il écri ra à Louise Colet {11 aoû t 1846) : « Que de fois , sans le vou loir, n'ai-je pas fait pleurer mo n père, lui si intell igent et si fin ! mais il n'entenda it rien à mo n idiome [ ...

j J'ai l'infirmité d'être né avec une langue spé ­ ciale dont seu l j'ai la clé.

n· Entré au collège de Rouen (1832), il se réfug ie dans la littéra ture et la dérision : avec ses camarades, il imagi ne Le Garçon, personnage satirique qui incarn e la médiocrité bou rgeoise.

LA cc CHAMBRE ROY ALE » En 1836, pendan t les vacances, il rencontre à Tro uville Elisa Schlé­ singe r, épouse d'un éditeur de mus ique.

Cette pass ion silencieuse et sans espoi r pour une femme plus âgée (elle a vingt-s ix ans) le marque profondément.

Elle lui inspirera les Mém oires d'un fou, la première et la seconde Éducation sentimentale.. »

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