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La princesse de Clèves oral de Français - Commentaire littéraire et linéaire de l'incipit

Publié le 09/05/2021

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« Première apparition : entrée en scène d’une princesse Mme de LaFayette appartient par son mariage à la haute noblesse.

Sans faire partie de la cour, elle la fréquente (amitié avec Henriette D'Anglette, belle soeur du roi) et l'observe.

Proche des mouvements des précieuses , elle a écrit un roman Zaide et une nouvelle La Princesse de Montpensier lorsqu'elle publie, toujours anonymement La Princesse de Clèves .

Ni nouvelle galante, ni roman précieux , quoiqu'ayant des traits de l'un et l'autre, ce récit qu'on considère comme le premier roman psychologique connait un succés exceptionnel.

Le passage que nous allons étudier est l'incipit du roman. Note sur l'ensemble de l'incipit : Incipit : elle vient d’épouser un prince, qui lui donne son titre, c’est un roman éponyme.

Milieu d’une princesse, milieu spécial. Ce titre rappelle des titres de tragédie ; ici un amour interdit qui s’annonce. Mme Lafayette , XVIIème siècle, vécut sous Louis XIV.

Les grands aristocrates d’habitude ne lisent pas, n’écrivent pas, ce n’est pas considéré sérieusement. Au travers de ce roman, Mme de la Fayette relate les problèmes de son milieu, la difficulté d’être femme à la Cour.

C’est rare d’avoir un écrit féminin au XVIIème siècle ; le roman devient célèbre.

Dans les grands salons, il y a de grandes conversations sur des thèmes tels que « qu’est-ce que l’amour ? », ou encore « peut-on être fidèle ? » « Comment éduquer les jeunes femmes ? ». Dans une société qui ne vit que par l’image, c’est un roman historique ; l’extrait se passe à la Cour ; elle change d’époque pour éviter la censure: choisit que le roman se passe sous le règne de Henri II (c’est la fin de son règne, mort du roi accidentelle). Dans la Cour, seule l’apparence compte.

Au travers de ce roman, Mme Lafayette relate un problème : difficulté d’être une femme.

Mme de La Fayette a de la répartie.

La princesse de Clèves est l’incarnation du sentiment amoureux.

Mme de Chartres rend ce personnage inaccessible.

Il y a trois fois le mot « beauté » : c’est une métonymie.

On sait seulement qu’elle est belle.

C’est un stéréotype, elle n’existe pas. C’est une référence aristocratique : vertu, beauté, éclat du temps.

Description physique, il y a un stéréotype mystère de sa beauté, un effet d’attente.

Le récit s’arrête : description hyperbolique, princesse hors norme, début de la description morale Il y a un point de vue omniscient : éduquer l’esprit, enseigner.

C’est aussi un discours moraliste : danger, passion amoureuse. Dans le roman, elle a beaucoup de prétendants. La Princesse dresse le portrait de la figure commune.

La Princesse donne le ton.

L’art du portrait est en vogue, le portrait est innovant. C’est un texte très connu ; le romancier invente un personnage, donne les éléments qui font qu’on croit qu’elle a existé. Conclusion : le roman est historique.

Juste avant l’extrait : galerie des personnages historiques.

Le personnage éponyme est d’exception. Ton élogieux, place de l’éducation originale. A consulter. »

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