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La Jument verte de Marcel AYME (Résumé & Analyse)

Publié le 15/05/2020

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« De nombreux films et téléfilms ont été tirés de l'œuvre de Marcel Aymé.

Ce dernier en fut d'ailleurs souvent ledialoguiste.

Parmi les plus connus, on peut citer : La Traversée de Paris (1956) et La Jument verte (1959), qui, tousdeux, ont été réalisés par Claude Autant-Lara. Comment fait-on l'amour chez les Haudoin ? Qui deviendra le maire de Claquebue ? Quelles choses inavouablesse révèlent à confesse ? Une jument observe, note, philosophe, ironise et s'attendrit... Contexte Ce roman, humoristique et plein d'une verve considérée à l'époque comme licencieuse, constitue l'un des grandssuccès de Marcel Aymé. Résumé "Au village de Claquebuc, naquit un jour une jument verte".

L'animal, magnifique et un peu fantastique, fait l'objetd'une peinture.

L'oeuvre est accrochée au mur du salon de ses propriétaires, les Haudoin.

L'histoire de deux famillesrivales est ensuite contée, depuis la fin du Second Empire jusqu'au début de la IIIe République, ponctuée par lescommentaires un peu lestes de la jument, observatrice attentive des moeurs - notamment amoureuses - desgénérations successives.La jument verte a été porté à l'écran par Claude Autant-Lara en 1959.

Une jument...

verte...

et observatrice Jules Haudoin, cultivateur et maquignon pas très honnête du village de Claquebue, voit un jour naître dans sonécurie...

une jument verte.

Nous sommes dans les premières années du Second Empire, et l'Empereur lui-même sedéplace pour admirer la jument. Tout naturellement, la bête s'en vient un jour à mourir.

Un magnifique portrait, réalisé par le célèbre Murdoire,immortalise la prodigieuse créature.

En effet, quelques gouttes du liquide séminal de maître Murdoire mêlées auxpigments de la peinture ont donné à la jument verte une vie éternelle.

Silencieuse, celle-ci régnera dans la maisonHaudoin quatre générations durant.

Et elle observera, la jument verte...

Le grand-père Haudoin, son fils Jules et safemme, les enfants de Jules, Alphonse, Ferdinand le vétérinaire et Honoré, et les enfants de ces derniers.

Ni lesquerelles, ni les manies, ni la haine des Haudoin pour les Maloret de Claquebue n'ont de secret pour la jumentcurieuse.

Mais, son terrain de prédilection, ce sont les mœurs érotiques des Haudoin, et même de Claquebue toutentier. Des vertes et...

des pas mûres Les « propos » hardis et gourmands î de la jument concupiscente, alternant avec la verve impertinente du récit austyle indirect, composent une vaste fresque de la vie de Claquebue.

Les chamailleries entre cléricaux, anticléricaux,républicains et bonapartistes font pendant à l'évocation émue des quatorze façons de faire l'amour à Claquebue.Tandis que le curé s'efforce d'obtenir au confessionnal le repentir de ses paroissiens les plus dévergondés, la jumentlyrique s'extasie sur « les manifestations érotiques » des petits-enfants Haudoin.

Alors que la haine séculaireHaudoin-Maloret prend un tour aigu, la jument lubrique ironise sur les pudeurs nocturnes du pauvre Ferdinand.

Avecson humour et ses amours, son sens du merveilleux et du réalisme paysan, son indulgence et sa causticité, La Jument verte est un roman sain qui nourrit la bonne humeur et la joie de vivre.. »

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