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Khosrô Ierrégna de 531 à 579Kobadh désirait que son fils Khosrô lui succédât.

Publié le 23/05/2020

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« Khosrô Ier régna de 531 à 579 Kobadh désirait que son fils Khosrô lui succédât.

Les dignitaires et surtout les religieux de son royaume étaient consentants, car Kavous, son autre fils, gouverneur du “ Padhash khvargar ” (Tabaristan), était de religion mazdakite.

Gobadh avait sollicité l'appui de Justinien, empereur byzantin, à ce sujet, mais à l'instigation de son conseiller Proclus, l'empereur refusa.

Il en résulta des dissentiments entre l'Iran et Byzance. Sur les conseils de Mahbodh, Gobadh avait rédigé son testament en faveur de Khosrô. Après sa mort, Mahbodh lut son testament devant le Grand Conseil de la Cour réuni à cette occasion et c'est ainsi que, sans difficulté, Khosrô prit le pouvoir, le 13 septembre 531 après J.-C.

(843 de l'année séleucide). Khosrô rétablit, tout d'abord, l'ordre perturbé par les partisans de la religion mazdakite. Les biens dont s'étaient emparés les Mazdakites furent rendus à leurs propriétaires légitimes ou devinrent propriétés d'État.

La femme qui avait été enlevée par la violence devait être rendue à son mari.

Si celui-ci était mort, elle avait la possibilité d'épouser ou de quitter son ravisseur pour épouser l'homme de son choix.

L'enfant de père inconnu devait être reconnu par la famille au sein de laquelle il vivait et dont il devenait l'héritier.

Les enfants issus des grandes familles enlevés par les Mazdakites étaient recueillis par Khosrô, considérés comme ses propres enfants et dotés de ses propres deniers. Les propriétaires terriens dont la propriété avait été saccagée furent indemnisés.

Les villages pillés et les ponts endommagés furent reconstruits.

La mise en état des finances que Gobadh avait entreprise fut menée à terme.

Le cadastre des terres cultivables fut établi et un impôt institué pour chaque unité de “ garib ” (2,400 m 2), selon son importance. Khosrô rétablit la taxe personnelle dont furent dispensés les religieux, les nobles, les dignitaires, les professeurs, les militaires et tous les employés du gouvernement.

Les autres devaient s'en acquitter dès l'âge de vingt ans jusqu'à cinquante ans, suivant leurs possibilités financières, soit douze drachmes, huit drachmes ou six drachmes par an.

La moyenne était de quatre drachmes par an. Khosrô réorganisa l'armée qu'il dota d'armes nouvelles.

Il soumit les tribus primitives des montagnes et les intégra à l'armée.

Avant lui, l'armée iranienne n'avait qu'un seul “ Spahbodh ”.

Khosrô divisa l'armée en quatre zones militaires, soit l'Est (Khorassan et Sistan), le Nord (Tabaristan et les Mades), le Sud (Pavs, Ahwaz et Kirman), l'Ouest (Irak et régions de l'Ouest). La guerre de Byzance Lorsque Khosrô monta sur le trône, l'Empire d'Iran et celui dé Byzance cherchèrent à se réconcilier.

En effet, Khosrô était aux prises avec les Mazdakites.

Quant à Justinien, préoccupé par la lutte qu'il livrait à l'Ouest, il redoutait un second affrontement militaire. C'est pourquoi, au mois de septembre 532 après J.-C., toutes les exigences de l'Empire d'Iran furent acceptées.

Les Perses abandonnèrent la citadelle de Lasika (située au bord de. »

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