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KANT logique

Publié le 28/11/2021

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« PHILOSOPHIE EXPLICATION DE TEXTE Dans ce texte Kant philosophe Allemand du 18ème siècle établit une une distinction entre deux sortes de connaissances: Celles qui proviens de l’expérience personnelles ou le témoignage lorsqu’il s’agit de connaissance historique ou il s’agit d’une connaissance rationnelles.

En même temps Kant prétend : Ne faut-il pas dans certaines circonstance s’appuyer sur autrui ? C’est une question à laquelle répond le texte de Kant, extrait de son ouvrage « Logique » publiée en 1800 . Dans une certaine mesure, il est important de définir l’expression « préjugé » qui signifie juger en s’appuyant sur ce que d’autres ont pensé. Ainsi, Kant, dans ce texte veut montrer que lorsque nous nous appuyons sur l’autorité d’autrui, nous ne préjugeons que pour les connaissances rationnelles. Dans cet extrait l’auteur veut montrer qu’il n’y a pas de préjugé lorsque la connaissance est empirique ou repose sur un témoignage.

Pour y parvenir Kant commence par traiter les matières dont les connaissances sont justifiées, validées par l’expérience personnelle et le témoigne.Il illustre sa pensée en disant : « puisque nous ne pouvons faire nous mêmes l’expérience de tout n’y le comprendre par notre intelligence .»De cette manière l’auteur mentionne que nous ne pouvons pas toujours juger par nous mêmes et qu’il est possible de faire confiance aux autres sans préjuger. Il en déduit au début de son texte « qu’il faut que l’autorité de la personne soit le fondement de nos jugements » ; C’ est à dire que nous ne préjugeons pas lorsque nous nous fions à l’autorité d’autrui. Kant construit son analyse dans un second temps , à partir d’une distinction entre les domaines de connaissances empiriques (historiques) et le domaine de connaissances rationnelles comme leur nom l’indique , repose sur la raison , racines de l’expérimentation.

C’est en se sens que Kant veut montrer que la transmission d’une connaissance rationnelle ne dépend pas simplement de l’autorité d’une personne qui maîtriserait le savoir.

Aussi peut on se demander s’il est nécessaire en cherchant la vérité de rejeter l’autorité d’autrui dans les différents domaines. L’auteur prétend que les vérités rationnelles ont une valeur quelque soit la personne qui l’expose : alors , nous admettons ces connaissances comme vraies, justes, intègres. En effet, ce qui fait le préjugé, ce n’est pas le contenu du jugement, mais l’attitude de celui qui lui donne son assentiment ( qui le tien pour vrai).

Tandis que pour les connaissances empiriques, la notoriété de la personne importe ; attitude qui permet de rendre légitime les propos, les découvertes. En poursuivant cette analyse littéraire, Kant montre que dans les connaissances rationnelles , celui qui possède la raison peut juger du contenu de la connaissance.

Sous cet aspect, toute personne détient la possibilité de rejeter l’autorité d’autrui, cela suppose la motivation, la capacité, les compétences pour chercher la vérité.

Par l’expression « la faiblesse des lumières personnelles » , Kant explique que l’insuffisance de connaissances incite l’individu à croire les grands hommes au détriment de leur propre analyse, de leur propre raison, afin d’acquérir des connaissances nouvelles. A travers l’expression « c’est de façon anonyme que valent les vérités rationnelles » , l’auteur avance l’idée qu’il importe peu que soit illustre la personne qui dévoile une vérité.

Ce qu’il faut mettre en exergue, c’est la substance, l’essence même de la connaissance.

Par conséquent, les vérités rationnelles par opposition aux vérités historiques, ne dépendent pas de qui l’a découvert. Nous pouvons nous demander, si la question : » lorsqu’on cherche la vérité , faut-il rejeter l’autorité d’autrui ? » Il importe selon les domaines de s’en tenir à l’autorité d’autrui puisqu’il n’est pas toujours possible de vérifier soi-même toutes les découvertes, toutefois, il est notable de pas systématiquement s’en. »

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