Journal de bord “Déclaration des Droits de la Femme”

« Journal de bord “Déclaration des Droits de la Femme” J’adore lire des romans et j’ai pas l’habitude de lire des livres aussi politique et aussi feministe que “déclaration des droits de la femme” car je ne pense pas avoir les connaissance requis pour comprendre la profondeur d’un essai aussi influent et puissant que ca.

Mais je vais pas mentir, j’étais vraiment intrigué. Pour commencer, ce livre a été ecrit par une femme du 18 eme siécle qui parle à propos de l’inégalite entre homme et femme.

Ce dont malheureusement, les femmes de l'époque n'avaient pas conscience clairement à cause du manque d’éducation. J'étais surpris quand j’appris que non seulement les hommes, mais même les femmes étaient furieux de ce texte révélateur.

Les femmes pensaient qu'il était de leur responsabilité de plaire à leurs hommes et de suivre leurs ordres.

Je suis tellement reconnaissante de ne pas être née en même temps qu'eux car je ne pense pas que je serais capable de tolérer ce sexisme extrême et d'être traitée comme une chienne qui ne peut rien faire d'autre que suivre les ordres. Je suis vraiment fière de l'Olympe de Gouges car elle, en tant qu’une femme du 18ème siècle a écrit un essai si beau et bien écrit qui fait vraiment taire tout homme qui aboie.

Et je suis désolé qu'elle ait dû mourir pour quelque chose d'aussi fondamental que les droits des femmes “Homme, es-tu capable d’être juste ? C’est une femme qui t’en fait la question ; tu ne lui ôteras pas du moins ce droit.

Dis-moi ? qui t’a donné le souverain empire d’opprimer mon sexe ?[...] Remonte aux animaux, consulte les éléments, étudie les végétaux, jette enfin un coup d’œil sur toutes les modifications de la matière organisée,[...] si tu peux [...] Partout tu les trouveras confondus, partout ils coopèrent avec un ensemble harmonieux à ce chef-d’œuvre immortel.” Cet extrait est le texte le plus fort et le plus sage à mon sens.

Olympe de gouges donne ici une raison très logique, et perspicace, en comparant la situation à celle des animaux, elle ne laisse aucune place à quelqu'un pour la contredire.

J'aime aussi qu'elle parle d'un ton très condescendant « si tu peux », c'est comme si elle imitait les hommes qui disent la même chose aux femmes.

Cela montre aussi la sévérité du sexisme à cette époque. Un autre texte très intéressant est : “Ô femmes ! Femmes, quand cesserez-vous d’être aveugles quels sont les avantages que vous avez recueillis dans la révolution.... »