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HLP sensibilité romantique: Comment les artistes parviennent-ils à trouver la beauté dans la mort et à la retranscrire dans leurs œuvres ?

Publié le 04/01/2024

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« Comment les artistes parviennent-ils à trouver la beauté dans la mort et à la retranscrire dans leurs œuvres ? On bascule du 18ème au 19ème dans une ambiance de guerre en Europe.

La jeunesse rentre dans une période romantique car elle se sent désoeuvrée.

La jeunesse est lassée d’un monde qui n’a plus aucun goût ni aucune saveur.

On représente la mort à travers les cadavres et les morts que l’on peint, ce qui choque puisqu’on n’est pas habitués à ce genre d’exposition.

Attrait pour le merveilleux et tout ce qui est historique durant le romantisme. Mode troubadour, revisiter des tableaux de la Renaissance pour les mettre à la page. Époque où les classes bourgeoises deviennent très riches, énorme contraste dans la société : embourgeoisement en face de morts dans des conditions absurdes à la guerre.

La mort plait car il y a un côté mystérieux.

Cimetières en dehors des églises, respect pour les morts, fin de l’insalubrité des cimetières.

Les gens sont de moins en moins catholiques et religieux, ils se posent la question de ce qu’il se passe après la mort, soit la mort du corps mais qu’en est il de l’esprit ? La mort peut se vivre de deux façons : on meurt ou on vit la mort de quelqu’un d’autre.

On n’est pas préparé psychologiquement à la mort.

La composition aide à se préparer psychologiquement à la mort.

La mort est utilisée pour émouvoir et faire passer un message. Oeuvre picturale : Le massacre de Chios, Eugène Delacroix Oeuvre musicale : Danse macabre, Camille Saint-Saëns Oeuvres littéraires : L’enfant, Victor Hugo; La Mort des amants, Charles Baudelaire Texte critique : Jean Pambrun On ne peut pas aborder le paradoxe de la mort romantique, sans évoquer d’abord le malheur romantique, cette détresse morale, cette inquiétude existentielle, ce sentiment d’incomplétude qui ici a porté le nom de mal du siècle Introduction : La transition du 18ème au 19ème siècle se fait dans une ambiance de guerre en Europe.

Ainsi la jeunesse entre dans une période romantique car elle se sent désoeuvrée.

La jeunesse est lassée d’un monde qui n’a plus ni goûts ni saveurs.

On commence alors à s’intéresser à la mort, sujet qui effraye en temps normal.

Ainsi, comment les artistes parviennent-ils à trouver la beauté dans la mort et à la retranscrire dans leurs œuvres ? L’émergence de tableaux tels que “Le massacre de Chios d'Eugène Delacroix peint en 1824, montrent des scènes de mort et des cadavres.

L’utilisation de la mort dans des tableaux a suscité des réactions mettant ainsi en cause la définition de la beauté artistique. Ce tableau semble exprimer la façon dont l’artiste ressent la mort, il transmet sa sensibilité au travers de ce tableau.

La mort a, à cette époque, un côté mystérieux qui plait beaucoup. Jean Pambrun disait : “On ne peut pas aborder le paradoxe de la mort romantique, sans évoquer d’abord le malheur romantique, cette détresse morale, cette inquiétude existentielle, ce sentiment d’incomplétude qui ici a porté le nom de mal du siècle”.

En effet, la jeunesse est atteinte du mal du siècle, un sentiment de mélancolie profonde qui touche la jeunesse romantique.

On se questionne sur sa place dans le monde et par conséquent, de la mort.

En effet, à cette époque les gens sont de moins en moins catholiques et se posent donc la question de ce qu’il se passe après notre mort.

La mort du corps est un fait mais qu’en est il alors de l’esprit ? Les artistes trouvent souvent la beauté dans la mort en explorant la dualité inhérente à cette expérience universelle.

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