Histoire des institutions 1

« INTRODUCTION L'État tente de contrôler le pouvoir exécutif voir à coiffer toutes les institutions publiques.

D'ailleurs cela revient à étudier l'administration en France qui tente à recouvrir toutes les institutions publiques mais les institutions publiques n'inspire pas tous les pouvoirs publics. Tout cela se traduit par des concepts clés, de vecteur qui construisent la France depuis 1789, de la centralisation territoriale, de commandement, de soumission administrative centrale.

Deuxième mots-clés les fonctionnarisation : les institutions publiques ont créé un corps de salariés de l'État permanent : les fonctionnaires de l'État civil ou territoriale pose la question dont l'État sanscrit dans la société qui n'est pas seulement le régulateur mais une partie d'une part de l’employeur. Centralisation & fonctionnarisation joueur depuis 40 ans, ce mouvement historique est remis en cause en France par la décentralisation dans les années 80 par des lois départementale : elle représente une répartition des fonctions de l'État fonctionnel.

Le décrochage se fait de plus en plus au niveau territorial : des IP tentent de s'éloigner de l'État et de l'État central. Avant, l'État était une société centrale qui pouvait avoir tous les types de métier.

La centralisation puis detentalisation qui commence à la révolution française, il convient avant de voir sur quelle base les réformes irréversibles de la révolution française sont posés sous l'ancien régime : expression qui apparaît dans les cahiers de doléances.

L'ancien régime était une notion révolutionnaire : elle a été forgé par la perspective de sa réforme qui a été enclenché par une rupture de l'organisation qu'elle a elle-même baptisé à cette l’époque.

La monarchie va tomber en ruine et le deuil de cette monarchie va se faire si vite : en 1815 ans siècle qui permet de rester dans un régime constitutionnel et longtemps rallier à rassembler des partisans comme le parlementarisme absolu du latin absolutus = sans liens : le roi ne peut pas être isolé, le chef ou l'incarnation du pouvoir souverain doit être encadré par des textes ou des constitution. Sous l'ancien régime, le roi était une figure isolé : aucune forme de régulation sur lui, il tenait sa force que sur la légitimité absolue.

Son sacre : Les premiers opposant à l'absolutisme ne sont pas les pauvres ou les membres du tiers état mais surtout les bourgeois, les gouvernants de la noblesse qui veulent partager le pouvoir avec le roi : ce sont les principaux opposants à la monarchie. De plus, un des principaux problèmes durable : c'est l'église.

Pendant cette période le roi était le chef du religieux c'est-à-dire de l'église et l'église était une incarnation religieuse spirituelle sur les âmes mais pas sur les corps.

Église possède un chef universel qui est le pape qui fait partie du modèle d'État.

Une grande partie du vocabulaire de l'administration vient du vocabulaire ecclésiastique par exemple administré. Le roi 11789 a réussi à rationaliser la France en étant le chef est le protecteur de son église nationale.

La nationalisation de l'église est un élément essentiel car un seul pays de l’Europe avait réussi à soumettre l'église au service du national et c'était l'Angleterre sous Henri VIII. En France on est très loin de ça mais la tentation depuis la fin des guerres est présente.

Ils veulent que l'église soit fidèle au pape essentiel : c'est un régime ou plusieurs logique rationnelle s’entremêlent.

Cette Idée que l’église est une incarnation essentiel sur les âmes et pas les corps serait emboîter : le premier élément de la révolution française qu'en novembre 89 : il y a la fusion de l'église et de l'État d'abord par but économique ou tous les biens qui permettait aux prêtres de vivre avec des terres etc.

ou soit 20 à 25 % qui devient la propriété de l’État.

L'État transfert c'est bien de l'église pour les vendre aussitôt et à faire qu’une partie de la société reviennent à l’État.

Cette. »