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H. de TOULOUSE-LAUTREC:LA FEMME AU BOA NOIR.La célébrité naissante n'a

Publié le 17/05/2020

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« H.

de TOULOUSE-LAUTREC LA FEMME AU BOA NO IR La célébrité naissante n'a pas tourné la tête à Toulouse-Lautrec.

Il continue à réaliser de saisissants portraits, où l'habitué des bordels et des cafés-concerts sait faire preuve d'un esprit d'observation particulièrement pénétrant.

Au cours de cette année 1892, l'activité de T oulouse-Loutrec est à son point culminant.

Sa production est intense, et jamais il n'a été plus inspiré.

C'est qu'il devient célèbre: ses toiles sont présentes dons de nombreuses exposi­ tions, et ses o~iches couvrent les murs de Paris.

LE CONTEXTE A l'époque où Lautrec exécute cette toile, il habite à Montmartre (son lieu de prédilection ) une maison située à l'ongle de la rue Tour­ loque et de la rue Caulaincourt, à mi-chemin des établissements qu'il fréquente régulière­ ment, le Moulin Rouge et le Moulin de la Galette.

Il restera dons cette maison , où il possède son atelier, jusqu'en 1897.

«L'atelier de Lautrec, écrit Pierre Mac Orlon, qui a consacré une étude ou peintre , me paraît semblable à tous les ateliers d'artistes aisés.

Il y a des ka­ kemonos, des chaussons de danseuse, des bonnets de clown, des coiffures et des vête­ ments de femmes, des fauteuils en rotin et une quantité surprenante de coussins entas­ sés sur des divans.

La poussière protégeait toutes ces choses mortes contre les offen­ sives des femmes de ménage .

» La Sphynge, une« femme de maison» peinte vers 1898, à une époque où, le peintre ayant sombré dans l'alcoolisme, «tout le monde est étonné gu'il puisse resister à une vie pareille» .

Henri de TO ULOUSE-LAUTREC 1864-1901 • La Femme au boa noir • Huile s ur toile 53 cm x 41 cm • Signé en bas, à droite, «T.

Lautrec » • Peint en 189 2 • Localisation: Paris, musée d'Orsay L'ŒUVRE Le sourire mutin, l'œil gouailleur, l'attitude un rien provocante, cette jeune femme, même si elle pose de foce, a le regard perdu dans le vide.

Brossée à grands traits dans un camaïeu de noirs et de bleus, la robe du modèle s'accorde bien avec le boa qui lui enveloppe chaudement le cou.

Ces couleurs sombres font ressortir la carnation claire d'un visage où les mèches rousses s'alignent sagement sur le front très haut.

Les mains ne semblent ne pas finies? Qu'importe ...

Tout l'intérêt de l'œ uvre réside dans l'extraordinaire vivacité du portrait L'HISTOIRE C'est la comtesse Alphonse de T ouloyse-Lou­ trec qui fit don de ce tableau à l'Etat en 1902.

Le peintre avait une grande tendresse pour sa mère, et, malgré ses frasques , il pas­ soit souvent manger et dormir chez elle lors­ qu'elle séjournait à Paris.

Lautrec a laissé de la comtesse de nombreux portraits, et c'est auprès d'elle, réfugiée dons son château d'Albi, qu'il trouva le réconfort dons ses der­ niers moments.

LA COT E 11 n'y a pratiquem ent pas d'huiles sur toile en circulation.

En revanche, on trouve dans les vente s publiques énormément de lithographi es , dont le prix varie de 16 00 FF (30 0 dollar s) à ...

1 million de francs frança is (18 0000 dollars), prix atteint à B erne en 199 3 par Elsa la Viennoise.. »

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