Georges Cuvier1769-1832Cuvier, protestant par ses ancêtres huguenots, fut éduqué à Stuttgart.
Publié le 22/05/2020
Extrait du document
«
Georges Cuvier
1769-1832
Cuvier, protestant par ses ancêtres huguenots, fut éduqué à Stuttgart.
Il débuta sa carrière
par un emploi de précepteur à Caen où, lecteur assidu de L'histoire naturelle de Buffon, il
commença à s’intéresser à l’étude des fossiles et de la vie animale marine.
Il parvint à
obtenir un poste au Muséum d'histoire naturelle, prestigieuse institution à l’époque, où il
étudia l'anatomie des différentes espèces animales.
Il brilla rapidement par son talent à
reconstruire l'intégralité d'un animal à partir de fragments d'os, devenant ainsi le père de
l’anatomie comparative.
Il s’intéressa à la classification des espèces vivantes proposée par
Linné, qu’il modifia en ajoutant une autre catégorie, le phylum ; privilégiant les structures
internes sur les apparences superficielles, il divisa les invertébrés en trois phyla : les
mollusques, les articulés et les radiés.
Il fut le premier à étendre le système aux reptiles et
mammifères fossiles créant ainsi la paléontologie vertébrée.
Il identifia le mégathérium
comme étant une variété de tridactyle et le ptérodactyle un serpent.
Cependant, il s'est
trompé en considérant les dinosaures comme des mammifères.
Partisan d'une
interprétation littérale de la Genèse et défenseur d'une théorie du catastrophisme, il
s'opposa au concept d'évolution de son contemporain Lamarck.
Selon Cuvier, la vie s’était
éteinte à la suite d’inondations intervenues à plusieurs périodes de la préhistoire, et avait
rejailli à une époque ultérieure..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Georg Hegel Georges Friedrich Wilhelm Hegel naquit en 1770 à Stuttgart.
- En quoi l’affaire Georges Floyd témoigne-t-elle du racisme présent (dans la justice) en Amérique ?
- compte rendu théâtre: « Tailleur pour Dames » de Georges Feydeau
- 13. L’enseignement de Georges Acropolitès à Constantinople (1261)
- Georges Duhamel: « La civilisation est dans le coeur de l'homme ou bien elle n'est nulle part »