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gargantua

Publié le 22/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : gargantua Ce document contient 481 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.

« Jenny Baud                                                                                                   1ère L 1                                                                                                        Pour le 14/01/2013                                                Prologue de  Gargantua , Rabelais        Rabelais, auteur du XVI ème si ècle fut  également pr être et m édecin, mais avant tout un grand humaniste. On   retrouve donc les id ées de ce courant culturel dans ses œuvres telles que  Pantagruel  ou  Gargantua  , dont le   personnage principal est un g éant n é de l'oreille de sa m ère. Rabelais, pour d émontrer ses id ées, utilise le comique   tout au long du roman, fr ôlant parfois le grossier, et ce d ès le prologue. Dans ce dernier, on peut d émontrer que   l'all égorie du chien et de l'os  à moelle d éfinit une m éthode de lecture qui d épasse l'apparence des choses pour   atteindre leur sens profond.       Dans le prologue de Gargantua, Rabelais utilise une all égorie   : celle du chien et de l'os  à moelle. A la premi ère   lecture, on peut croire  à une simple histoire concernant un chien, ayant trouv é un os. Rabelais utilise le champ   lexical humain «   avec quelle passion   » «   quelle sollicitude   ». Le comique appuie cette id ée, et le lecteur s'imagine   ais ément la sc ène, du chien tr ès humanis é capable de sentiments envers son os. Cependant, d ès le paragraphe   suivant, on se rend compte qu'il s'agit de plus que cela. Rabelais commence  à comparer ce chien  à l'homme, et nous   conseille de suivre son exemple lors de nos lectures. La poursuite de la lecture nous r évèle donc un sens plus   profond.      Ainsi, Rabelais nous pr éconise d'imiter le chien, qui est tr ès appliqu é   : «   quel soin   » «   quelle ferveur   ». Il qualifie   le chien de «   b ête la plus philosophique du monde   ».

  Nous devrions donc avoir la m ême ferveur, le m ême int érêt que   le chien face  à l’œuvre   : «   de humer, sentir et appr écier ces beaux livres   ». De plus, il faut, comme le chien qui ronge   son os jusqu' à arriver  à la moelle, ne pas h ésiter  à relire le livre jusqu' à en comprendre les notions les plus   int éressantes, en extraire toutes les informations. Montaigne d éclare   :   «   rompre l'os et sucer la substantifique   moelle   ». On doit donc se «   nourrir   » de ce que l'ouvrage nous apporte, comme la moelle nourrit l'animal. De cette   fa çon , si la moelle pour le chien repr ésente le go ût le plus exquis qu'il puisse trouver, le lecteur atteint donc la   perfection avec une lecture des plus attentives. Le livre ne nous en para îtra donc que «   meilleur   » si l'on en a trouv é   la substance, tout  comme le chien trouve meilleur son os lorsqu'il a trouv é la moelle.        Finalement, le sens cach é de cette all égorie est un message de Rabelais qui invite le lecteur dans son prologue  à ne  . »

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