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Fiche de lecture - Outsiders, de H. S. Becker

Publié le 02/11/2020

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« Outsiders, de H.

S.

Becker Chapitre 1 L’auteur commence par nous expliquer que dans un groupe social il existe des normes que l’ont doit respecter si l’on appartient à se groupe social.

Ces normes définissent le bien et le mal.

Si l’on transgresse cette norme on est alors considéré comme étranger au groupe.

Mais l’on peut aussi considérer que si la personne transgresse cette norme c’est par ce qu’il ne l’accepte pas et pour lui ce sont ces juges qui sont étrangers à sa norme. Il y a deux cas de normes : - Celles écrites formellement dans la loi, qui engendrent des sanctions formelles, - Les accords informels, qui donnent lieu à des sanctions informelles. Ces normes sont faites respecter par des corps spécialisés ou peuvent être l’affaire de tous à chacun.

En fin un individu peut être considéré comme étranger à différents degrés.

Plus l’infraction qu’il commit est grave, allant jusqu’au crime, plus il sera jugé comme différant. L’auteur va ensuite chercher à définir la déviance.

D’abord avec les présupposés de bases comme le fait qu’il existe quelque chose de substantiellement déviant et qu’un acte dévient vient forcément de caractéristiques de son auteur qui le rend inévitable.

L’auteur souligne qu’il ne faut pas oublier que la norme change d’un groupe à un autre et par conséquent le processus de jugement varie aussi.

L’auteur va nous exposer 4 définitions couramment utilisé avant de construire sa propre définition.

La première part de la conception statistique, c’est-à-dire « est déviant ce qui s’écarte par trop de la moyenne » ou alors « tous ce qui diffère de ce qui est le plus commun ».

Mais cette définition est jugée trop simpliste par l’auteur car elle oublie la nature et la valeur de la déviance, il donne l’exemple des gauchers et des roux qui seraient considéré comme déviants selon cette définition.

Pour lui elle « est trop éloignée de l’idée de transgression » de la norme. La deuxième part de la conception analogique médicale, c’est-à-dire de « quelque chose d’essentiellement pathologique, qui révèle la présence d’un mal ».

Mais pour l’auteur cela 1. »

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