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Fiche de lecture français 1ère

Publié le 01/06/2021

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« J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » de Victor Hugo Introduction : « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » est un poème écrit en 1842 par Victor Hugo, et fini par être publié en 1856 dans Les Contemplations, au livre III, dans la section « les luttes et les rêves ». Victor Hugo est un poète, un romancier, un dramaturge du 19ème siècle, il est un auteur engagé, en effet il a combattu la peine de mort, il était également un opposant à Napoléon III. Dans ce texte l’auteur commence par justifier son amour envers deux êtres dédaignés du règne animal et végétal, l’araignée et l’ortie.Puis dans un second temps il cherche à faire ressentir à nous lecteur de la pitié, de la compassion. Nous nous demanderons comment Victor Hugo nous invite à adopter une vision nouvelle sur deux êtres dédaignés. Dans un premier temps nous verrons comment le poète justifie son amour envers ces êtres. Dans un second temps comment le poète cherche à émouvoir le lecteur. 1/Expression d’un amour paradoxal -« je »: registre lyrique, registre de l’expression des sentiments dans la tradition romantique, s’oppose à « ont » -« j’aime et hair »= antithèse, sentiment d’amour paradoxal car « je les aime seulement car on les hait » -Antithèse entre « rien » et « tout » = accentue la misère dans laquelle ils sont -Registre pathétique = sentiment de pitié, énumération qui accentue le registre négatif -Araignée coincé dans leur propre toile -Victor Hugo aime la laideur et le repoussant -Registre tragique : « fatals nœuds », personnage qui subit un destin qui mène à la mort -« Oh » et « ! » accentue le vers -Animalise l’ortie avec la couleuvre et personnifie l’araignée en tant que « gueux »,une vielle personne -Connotation obscurité = mort désespoir -« abîmes » rend les êtres désespérés et nous fait rentrer dans une profondeur -Retour registre pathétique avec « victimes » Conclusion partielle : Dans cette première partie nous avons vu que Victor Hugo nous décrit ces 2 bêtes de façon de plus en plus précise mais aussi de plus en plus profonde. A la fin de cette première partie il nous décrit les bêtes de façon pathétique, il cherche à changer notre regard. 2/ Appel à la compassion du lecteur - « passant » ici Victor Hugo s’adresse aux lecteurs -« plaignez » insiste sur la demande à la plainte -Registre pathétique « pauvre » -Grâce à l’interjection « oh » et « ! » -Anaphore de « plaignez » répéter 3 fois pour inciter à la plainte -« laideur »et « mal » sont 2 mots peu habituels dans la poésie, donne l’impression d’accéder à leur désirs -Passage de la pitié vers l’amour -Nouvelle antithèse entre « rien » et « tout », tout est universelle et tout le monde veut l’amour, tout est mélancolique, tout le monde a ses tristesses, au présent de vérité générale, donne leçon de morale car tout le monde peut-être et veut-être aimé -Parle de tout le monde -« Fauve horreur » = côté sauvage -« Horreur » rappelle l’horreur que vit ces êtres -« baiser »rime avec « écraser » = antithèse, similitude avec le son mais sens contraire - Si on enjambe quelque chose ou ne l’écrase d’où l’enjambement entre les 2 vers -Le poème se finit avec personnification, nous invite à tendre l’oreille et à écouter ce chuchotement de l’amour Conclusion : Pour conclure Victor Hugo change notre regard en appelant à notre compassion et en expliquant son amour envers 2 êtres. L’intention de l’auteur c’est d’un point de vue moral de nous faire aimer les êtres les plus laid, d’un point de vue poétique de ne pas rejeter les êtres les plus fragile, d’un point de vue esthétique la laideur peut être poétique. Des coches, « Notre monde vient d’en trouver un autre... » , Montaigne Introduction : Ce passage du texte qui commence à « notre monde vient d’en trouver un autre » apparaît dans le 3ème livre des Essais de Montaigne dans le chapitre 6, nommé « Des coches ». Montaigne est un auteur du 16ème siècle, il est un philosophe, un humaniste et un moraliste. Cet extrait aborde la découverte du continent américain. Dans ce texte Montaigne évoque le nouveau monde comme un monde enfant. Puis dans un second temps la bonté des Amérindiens et la destruction du nouveau monde par les Conquistadors. Nous nous demanderons comment Montaigne nous fait réfléchir sur la rencontre entre les deux mondes. Dans un premier temps nous verrons comment Montaigne nous fait réfléchir en présentant le nouveau monde comme un monde enfant. Puis dans un second temps, nous verrons comment Montaigne souligne la bonté et l’innocence des Amérindiens face à la violence des Conquistadors. 1/ Montaigne nous fait réfléchir en montrant le nouveau monde comme un monde enfant - « frères », idée de fraternité -Ignorants « nous avons ignoré celui-ci jusqu’à cette heure » - « non moins grand, plein et fourni de membres », négation qui marque la figure de la litote suggère qu’ils sont aussi grand, plein et fourni de membres -« on lui apprend encore son a,b,c » donne l’idée qu’ils sont encore enfant -« Ne savait ni lettres, ni poids, ni mesures » pas de commerce, vie naturelle, cueillette et chasse, négation par accumulation « ni » -Métaphore filée de l’enfant « encore tout nu », « si nouveau et si enfant » « ne vivait que des moyens de sa mère nourrice » - Monde vieillissant « si nous concluons bien de notre fin, quand le nôtre en sortira » (lumière) , l’idée d’un monde dans la lumière et l’autre dans l’ombre - »tombera en paralysie » suivi de l’antithèse « perclus » et « plein de vigueur » qui crée l’effet qu’il ne s’agit pas de 2 monde mais de 2 membres d’un même corps. Conclusion partielle : Dans cette première partie nous avons vu que Montaigne nous présente ce monde comme un monde enfant, mais également un monde qui est indépendant de la civilisation européenne. 2/ Montaigne nous fait réfléchir en soulignant le contraste entre l’innocence et la bonté des Amérindiens et la violence des conquêtes - « aurons-nous fort hâté sa déclinaison et sa ruine, par notre contagion », Monde malade, l’idée que les Européens ont apportés des maladies. -Monde malhonnête « nous lui aurons vendu bien chers nos opinions et nos arts », les Amérindiens ont payé avec leur souffrance de ces idées -Parallélisme « si ne l’avons-nous pas fouetté et soumis à notre discipline par l’avantage de notre valeur ; ni ne l’avons pratiqué par notre justice et bonté ; ni subjugué par notre magnanimité », montre un manque de valeur morale -Intelligence du peuple « ils ne nous devaient rien en clarté d’esprit naturelle et en pertinence », sont supérieurs en intelligence -Oxymore souligne la beauté de Cuzco et Mexico qui est extraordinaire « le jardin de ce roi, ou tous les arbres, les fruits et toutes les herbes, selon l’ordre et grandeur qu’ils ont en un jardin, étaient excellemment formés en or » -Enumération «ordre, grandeur, excellemment, or », ce peuple sait utiliser de nombreuses matières communes à celles des Européens -Ils ne sont pas inférieur dans l’industrie « ils ne nous cédaient non plus en industrie » -Ils manquent de vertu « Mais quant…autant qu’eux » litote compare aux Amérindiens « nous n’en avons pas tant qu’eux = nous en avons moins qu’eux » Conclusion : Pour conclure : Montaigne nous fait comprendre que les Amérindiens sont naturellement bon, innocents. Que l’inconnu de la civilisation Européenne leur à coûtés énormément. En revanche la cruauté des Conquistadors, leur a permis de se retrouver en position de force face aux Amérindiens. Des cannibales de Montaigne Introduction : Ce passage apparaît dans le 1er livre des Essais de Montaigne au chapitre 31, intitulé « Les cannibales », publié en 1580. Montaigne est un auteur du 16ème siècle, il est un philosophe, un humaniste et un moraliste. Dans ce passage Montaigne se rend à Rouen pour rencontrer 3 chefs cannibales qui ont débarqués en France. Dans un premier temps Montaigne présente le contexte de la scène, dans un second temps il critique la monarchie à travers la parole des Amérindiens, et pour finir il dialogue avec les Amérindiens afin de montrer que les Tupimanba ne sont pas des barabares. Nous nous demanderons comment Montaigne compare le roi de France au roi Tupimanba. Dans un premier temps nous verrons dans quelles contextes à eu lieu la rencontre entre ces 2 civilisation. Dans un deuxième temps la critique de la monarchie à travers la parole des Amérindiens. Et pour finir l’évocation de l’organisation sociale chez les Amérindiens. 1 / Présentation de contexte de la rencontre -Situation avec 3 Amérindiens -« coûtera » verbe au futur pour montrer leur ignorance -« commerce » évoque mélange des civilisations -« corruption » évoque l’idée que leur connaissance vont être atteint par le malheur, le mal européen -Lexique du malheur « corruption, quitter, ruine » s’oppose au lexique du bonheur « repos, bonheur » -Première phrase longue et complexe avec un enchâssement de proposition subordonné et une parenthèse, entasse les idées -« Présuppose » Montaigne donne son avis « misérable » -Se place comme un témoin qui mène une enquête et est aussi acteur de la rencontre -Fin de phrase indication de lieue et époque -Parle au passé car se remémore la scène d’il y a 15 ans -« parla longtemps » montre que le roi monopolise la parole, impose -Enumération qui montre la supériorité française -Français présuppose que les Amérindiens sont impressionnés, fait une question fermé car ne peuvent qu’apprécier cette ville Conclusion partielle : Dans cette première partie on a vu que les Européens tente d’imposer leur supériorité dans une scène qui a été mis en contexte par Montaigne. 2/ Critique de la monarchie par la parole des Indiens -Idée structuré et développé en deux temps -Donne l’idée d’une scène réaliste car il en a oublié certains détails -« Ils dirent que » discours indirect mais impression d’entendre leur voix -Accumulation d’adjectifs montre leur imposance par rapport au roi qui est un enfant -Périphrase qui incite sur le fait qu’il soit enfant -« fort étrange » est un euphémisme, Amérindiens trouve radical -Gardes plus aptes à être roi -Organisation sociale faites de manière qu’aucun individu est propre et que l’homme fait partie d’un tout « moitié les uns des autres » -« apercevoir » montre que les Amérindiens font une observation attentive des détails de notre société, représenté par « nous » -Opposition entre adjectif positif « plein, gorgés » et adjectifs de misère « pauvretés, décharnés » -Comprennent pas que les plus pauvres ne se révoltent pas -Opposition dans la société entre pauvres et riches « les moitiés ici si nécessiteuses » -« injustice » montre notion de justice chez eux Conclusion partielle: Pour conclure cette deuxième partie on a à la fois une critique indirect de la monarchie et à la fois un portrait indirect des Amérindiens qui ont une vision intelligente de notre société. 3/ Evocation de l’organisation sociale chez les Amérindiens -« je » Montaigne s’adresse aux Amérindiens -« fort longtemps » présence d’un vrai dialogue -« que je n’en pu tirer rien qui vaille » mal à récolter des infos -Questions ouvertes, cherche des infos sur pouvoir et privilèges du roi -Privilège mourir à la guerre, frai un chemin pour aller à la guerre -« suivre » montre liberté des hommes qui sont pas contrôler -Le roi donne seulement des directions -Viennent ceux qui veulent, armés peux nombreuses dépend de l’espace -Lexique nature « haies, bois » -Roi responsable, courageux, pas un enfant, roi logique -Nature s’oppose à la ville -Dernière remarque ironique par antiphrase, se moque en disant qu’ils n’ont pas de vêtements à la mode Conclusion : Pour conclure, les Amérindiens sont simples et logiques, se moque des Européens qui s’intéresse simplement à l’apparence et non à l’essence, la fin est satirique et montre que les vrais barbares sont les Européens. Le chapitre se termine en nous obligeant à réfléchir sur nous-même. Découvrir un autre monde c’est réfléchir sur nous-même. A une passante Charles Baudelaire Introduction : A une passante est un poème qui apparaît dans le recueil les fleurs du mal écrit par Charles Baudelaire et paru en 1861. Le poème appartient à la section Tableaux Parisiens. Charles Baudelaire est un poète inclassable mais influencé par le Romantisme, le Réalisme, le Parnasse. Ce poème nous raconte une éventuel rencontre entre Baudelaire et une femme. Dans ce poème Baudelaire évoque dans un premier temps l’allure la passante. Dans un second temps le coup de foudre de Baudelaire. Et dans un troisième temps Baudelaire s’adresse à la femme. Nous nous demanderons en quoi Baudelaire transforme-t-il cette rencontre en un instant exceptionnel. Pour y répondre,nous verrons dans un premier temps, la description de l’allure de la passante. Dans un second temps, l’échange du regard entre Baudelaire et la femme, le coup de foudre. Et pour finir, Baudelaire s’adresse à la femme à travers ses pensées I / Description de l’allure de la passante -Rue comme une foule -Métonymie « rue » car c’est la foule qui hurle, pas la rue, pour mettre la femme en valeur dans cette rue -Allitération en « r », « Rue autour de moi hurlait » -Effet de cacophonie, ensemble de bruit désagréable -Accumulation qui représente un mouvement « long et mince », représente le physique « le grand deuil, la douleur majestueuse » représente à l’état morale de la femme, c’est une douleur digne -Allitération en « d » avec assonance en « e » qui rend la démarche pesante -Diérèse avec « majestueuse, tueuse » = femme fatal -« passa, soulevant, balançant » = verbe de mouvement -Enjambement vers 4 qui montre que le mouvement dépasse le vers -« Ceci » valorisant, « jambe de statue » renvoie à une jambe parfaite = œuvre d’art -Antithèse entre « aigle » et « statue », statue connotation de froideur, femme inaccessible Conclusion partielle : Dans cette première partie on a vu que Baudelaire décrit la passante moralement, avant de s’intéresser sur les faits et gestes de la femme, qu’il fini par nous décrire comme une œuvre d’art à la fin de cette première partie. II / Echange du regard entre les deux personnages -« moi » crée une rupture crispé, tendu -Allitération en « r » -On pourrait comprendre qu’il boit dans les yeux de la femme -Son œil devient un contenant -Tristesse évoqué avec « ouragan » et la menace de cette amour foudroyant qui arrive -Champ lexical des éléments naturels -Antithèse entre « livide » et « ouragan » donne idée coup de foudre -Le plaisir qui tue renvoie à l’amour -Double sens de coup de foudre pour l’éclair et la nuit = spleen -Points de suspension montre attente, pause et évoque passage rapide -« ! » suggère l’intensité Conclusion partielle : Dans cette deuxième partie Baudelaire évoque cette rencontre rapide, mais également le coup de foudre ressenti lors de ce passage rapide et intense. III / Baudelaire s’adresse à la femme -« Soudainement » marque la surprise, rapidité -« Renaître » donne caractère divin à la femme, s’oppose à « tue » -Il meurt puis renait puis meurt c’est comme dans l’amour -« ? » évoque le doute de la revoir, question rhétorique -« Dans l’éternité » = périphrase pour évoquer la mort -Dégradation avec « ailleurs », « loin d’ici », « trop tard », montre l’impossible déjà passé -« jamais » écrit en italique est fait pour émettre un doute et appuyé le mot -3 !!! ce qui appuie la dégradation -Antithèse entre « ignore » et « sait » -vers 13 écris au présent d’énonciation -Chiasme avec « tu » alors que « je » encadre tu, cela crée une rencontre dans le vers, rencontre poétique -Registre lyrique avec « ô », « aimée » = expression des sentiments -Les 2 étaient dans l’ignorance mais le dernier mot est savoir = illumination Conclusion : Pour conclure, on voit dans les 2 derniers vers que Baudelaire crée de l’or, l’or de la poésie qui lui a permis de crée une rencontre poétique à partir d’une rencontre qui n’a pas existé mais qui a permis a Baudelaire de sortir du spleen et du cadre agressive de la rue. Vénus anadyomène de Arthur Rimbaud Introduction : Le titre du sonnet « Vénus Anadyomène », tiré du Cahier de Douai écrit en 1870 par Arthur Rimbaud, laisse penser, au premier abord, que le poète va évoquer l’épisode célèbre de la naissance de Vénus surgie des flots, en effet puisqu’Anadyomène signifie en grec « qui sort de l’eau ». C’est pourtant d’une vieille baignoire que surgit la femme décrite par Rimbaud. Au lieu du corps attendu, celui de Vénus, c’est le corps repoussant d’une vieille prostituée qui est décrit. Dans un premier mouvement le poète évoque la tête de la femme. Le deuxième mouvement s’attarde à décrire son dos. Le dernier tercet, qui constituent « la chute », nous fait plonger jusqu’au détail le plus sordide de sa laideur. Ainsi, dans ce poème, Rimbaud revisite à la fois le mythe et la tradition poétique du sonnet et du blason pour évoquer la laideur d’une prostituée. Nous nous demanderons donc en quoi ce poème est une parodie de l’évocation traditionnelle du corps de la femme. Dans un premier temps, nous verrons l’évocation de la laideur la femme. Puis dans un second temps, comment Rimbaud accentue la laideur de la femme.

« «   J’aime l’araignée et j’aime l’ortie   » de Victor Hugo Introduction   : «   J’aime l’araignée et j’aime l’ortie   » est un poème écrit en 1842 par Victor Hugo, et fini par être publié en 1856 dans Les Contemplations, au livre III, dans la section «   les luttes et les rêves   ».

Victor Hugo est un poète, un romancier, un dramaturge du 19ème siècle, il est un auteur engagé, en effet il a combattu la peine de mort, il était également un opposant à Napoléon III.

Dans ce texte l’auteur commence par justifier son amour envers deux êtres dédaignés du règne animal et végétal, l’araignée et l’ortie.Puis dans un second temps il cherche à faire ressentir à nous lecteur de la pitié, de la compassion.

Nous nous demanderons comment Victor Hugo nous invite à adopter une vision nouvelle sur deux êtres dédaignés.

Dans un premier temps nous verrons comment le poète justifie son amour envers ces êtres.

Dans un second temps comment le poète cherche à émouvoir le lecteur. 1/Expression d’un amour paradoxal -«   je   »: registre lyrique, registre de l’expression des sentiments dans la tradition romantique, s’oppose à «   ont   » -«   j’aime et hair   »= antithèse, sentiment d’amour paradoxal car «   je les aime seulement car on les hait   » -Antithèse entre «   rien   » et «   tout   » = accentue la misère dans laquelle ils sont -Registre pathétique = sentiment de pitié, énumération qui accentue le registre négatif -Araignée coincé dans leur propre toile -Victor Hugo aime la laideur et le repoussant -Registre tragique   : «   fatals nœuds   », personnage qui subit un destin qui mène à la mort -«   Oh   » et «   !   » accentue le vers -Animalise l’ortie avec la couleuvre et personnifie l’araignée en tant que «   gueux   »,une vielle personne -Connotation obscurité = mort désespoir -«   abîmes   » rend les êtres désespérés et nous fait rentrer dans une profondeur -Retour registre pathétique avec «   victimes   ». »

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