Faut il avoir peur des machines

« 1/4 III. COMMENT, DÈS LORS, GARANTIR LEUR MAÎTRISE /CONTRÔLE ? RÉPONSE : EN AYANT PEUR !!! A. Transition Heidegger appelle « technique » le rapport que nous (occidentaux) entretenons avec le monde et la nature depuis Descartes.

C’est -à-dire, l’idée que les seules connaissances valables viennent d’une mathématisation de la nature.

Tout est désormais mesurable parce que la natu re n’a plus « d’âme », elle n’est que matière ou ressources disponibles pour l’homme .

À partir de là , et à l’aide du texte de Descartes que nous avons étudié , nous pouvons distinguer un état primitif et un état moderne de la technique : ETAT PRIMITIF DE LA TECHNIQUE Science ≠ technique Savoir ≠ savoir -faire Philosophie « spéculative » des anciens (Aristote) Savoir pour savoir Question : pourquoi ? Quelles sont les causes (4) Des ARTISANS en ateliers L’outil prolonge la main C’est le geste de marteler qui fait qu’on martèle. L’artisan acquière de l’expérience, des compétences qui le réalisent et le rendent libre. Le rythme de la nature est respecté ETAT MODERNE DE LA TECHNIQUE Science = technique Savoir = savoir -faire Philosophie pratique des modernes (Galilée, Descartes, Newton) Savoir pour pouvoir Question : comment ? Comment ça fonctionne ? Des TECHNICIENS en usine Les machines remplacent les outils. Elles diminuent la part de travail de l’homme et lui impose son rWKPH (Chaplin , txt.

Anders sur la tv ) Progrès ambigu qui peut aller contre l ’ouvrier : chômage, aliénation… L’homme n’est plus agi par la nature mais agit sur elle avec violence = ARRAISONNEMENT !!! L’a rraisonnement est un concept heideggérien qui signifie que le réel n’a de sens pour l’homme que comme ressources d’énergies ou de matériaux soumis à la maîtrise scientifique et technique.

La nature est, pour ainsi dire « sommée » de fournir à l’homme tout ce dont il a besoin. Dès lors, il y a un double sens à dire qu’il y a progrès quand on parle des machines et de la technique.

Le progrès peut être un progrès pour l’homme ( c’est le sens. »