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Essai sur l'entendement humain, Livre II, chapitre 27,  paragraphe 22, Locke - Commentaire

Publié le 16/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Essai sur l'entendement humain, Livre II, chapitre 27,  paragraphe 22, Locke - Commentaire Ce document contient 1074 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie.

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ilcherche à savoir ce qui établit le jugement d'une même personne, qu'est-ce qui peut faire qu'elle soit coupable ou pas,qu'est-ce qui peut la juger .

Lorsque l'on parle de la conscience d'un homme, il s'agit donc de savoir si cet homme est apte ase juger lui-même par sa conscience, si on peut le juger pour des actes qu'il a fait en étant inconscient .

Est-ce qu'un hommereste toujours le même, même s'il se trouve dans un état d'inconscience comme le somnambulisme? Peut-on vraiment jugerun homme si il n'a pas conscience de ses actes ?Pour l'auteur, l'homme conscient et inconscient n'est pas la même personne, même si c'est le même corps, si il estinconscient, il n'a pas connaissance de se qu'il fait, il agit sous le contrôle de l'inconscient.

Pendant ce laps de temps on nepeux supposer, qu'en temps normal il n'aurait pas agit de cette manière.La structure du texte se fait en 2 parties:« Mais l'homme saoul...en sa faveur », on pose le problème sur la réelle identité de l'homme.

Il est pleinement responsablede ses actes dans toutes les situations, qu'il soit conscient ou non.« Au dernier jour...

l'excuse », c'est une nuance de sa thèse, même si les tribunaux humains jugent l'homme coupable, il ne lesera que quand sa conscience l'acceptera.Mais la personne ne peut-elle pas faire des actes malsain tout en étant consciente ? «Mais l'homme saoul....par la suite? », la personne est la dimension morale ou juridique, un être qui peut répondre de sesactes, qui a des droits et des devoirs et qui est capable de choisir entre le bien et le mal.

La conscience fait référence à laconscience morale, c'est une propriété qu'aurait l'esprit humain de porter des jugements normatifs immédiats sur les actions(c'est bien, c'est mal).Ce paragraphe est la thèse de l'auteur, il nous explique le problème qu'il se pose, pour lui un homme qu'il soit conscient,« dessaoulé », ou inconscient, « saoul », cela reste la même personne et elle peut donc être juger même si il a oublié d'avoircommis cet acte.« Il est … une excuse », pour juger ces actes, la justice le considère comme une personne, c'est-à-dire qu'il aurait en sonlibre arbitre le choix ou non de commettre le délit en question.

Donc totalement coupable au regard de la loi, car celaimplique qu'il savait si l'acte commis était bien ou mal.

La justice juge la personne comme si elle avait agi consciemment puisque l'inconscient et totalement inconnu mal grès qu'il se manifeste chez tout les être humains.

La justice se base sur desfaits réels car on ne peut pas juger ce qui est inexplicable et qu'on ne connait pas tel que l'inconscient (donc on ne peux pasnon plus se défendre grâce a sa).. »

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