Databac

Définition de l'esprit en philosophie

Publié le 18/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Définition de l'esprit en philosophie Ce document contient 634 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie.

« u'est-ce ue l'es rit? !.}esp rit est une notion obscure parce qu'elle ne se définit que par opposition ou diffé­ rence avec la mati ère consi dérée comme inanimée.

Pourtant, l'expérience nous montre, à chaque moment que nous, qui sommes matière, pensons.

Les maté rialistes ont donc de solides arguments pour refuser de di ssocier le corps de l'esprit.

Ce pend ant nos pensées sont très fréquemment tout autres que nos activités et attitudes corporell es.

C'est pourquoi nombreux sont les philosophes et les scientif iques qui sépa­ rent, comme deux substances, l'âme pensante et le corps.

Le corps individu el est indé­ niabl ement mortel; or la pensée conçoit des « vérités éternelles »,singuli èrement dans le do maine des mathéma tiques, comment un tel esprit pourrai t-il périr ? QUALITÉ OU UNITÉ? L'esprit retentit sur le corps, et réciproquement.

C'est ce que montrent nos pas­ sions qui entraînent des modifications biologiques; et les maladies que l'on nomme ps ychosomatiques, où une perturbation mentale se traduit par une affection corporelle.

LES MALADIES MENTALES Les maladies mentales se traitent certes par la parole et le dialogue, mais aussi chimiquement, ce qui prouve la matérialité de l'esprit.

Cette matérialité est-elle absolue et telle une machine, ou bien laisse-t-elle une place par une acùvité spirituelle distincte, comme le réclame l'affirmation du libre arbitre ou de l'au­ todéterminat ion? Les connaissances actuelles en neurologie ne perm ettent pas de répondre avec assurance à ce problème qui reste donc philosophique et énigmatique.

R.

Penrose, dans The Emperor's New Mind (1991) , pose clairement le problème: (in John C.

Eccles, Comment la conscience con trôle le cerveau, Fayard, coll., 19 97) .. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles