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DAUDET: Le Petit Chose (Fiche de lecture)

Publié le 15/05/2020

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« DAUDET: Le Petit Chose (Fiche de lecture) préfacé par Paul Guth,commenté et annoté par Louis Forestier« Le Livre de Poche », n° 925 1.

L'auteur et l'oeuvre dans leurs contextes Éléments biographiques On se reportera à la biographie, pp.

329-332 (nouvelle édition, par Louis Forestier). Un roman autobiographique Des indications biographiques et de la préface de Paul Guth il est aisé de déduire la part du romanesque dans ceroman largement autobiographique (voir pp.

v à xi). La deuxième partie du roman est la plus infidèle à la réalité : si Ernest a bien été une « mère » pour Alphonse, lescomparses sont purement imaginaires, qu'il s'agisse de Pierrotte (p.

184), des « yeux noirs », de la dame du premier(p.

198) ou de sa négresse.

Alphonse Daudet n'a, par ailleurs, jamais été comédien. 3.

Daudet, le réalisme et le naturalisme Il est à noter que ce n'est qu'une dizaine d'années après Le Petit Chose que Daudet fait figure d'écrivain réaliste et que, seulement après la publication du Nabab, en 1877, Zola le salue comme auteur « naturaliste ».

Jules Lemaitre écrit à ce propos : « Le réaliste, c'est lui, et non monsieur Zola.

Daudet est comme hypnotisé par la réalité.

Iltraduit ce qu'il a vu.

» Cependant Lemaitre marque bien la différence essentielle entre ce réalisme et celui de lanouvelle école.

« Ce réaliste est cordial, il aime, il a pitié, il ne dédaigne point.

Il s'est préservé de ce pessimismebrutal et méprisant qui fut à la mode et s'appela, on ne sait pourquoi, le naturalisme.

» 2.

L'oeuvre architecture, mouvements, personnages Composition de l'oeuvre 1.

La province (chapitres I à XIV, pp.

15 à 140) La fabrique du père, ses difficultés, la liquidation et le départ pour Lyon (pp.

15 à 24).

-- Voyage et arrivée à Lyon,les cafards dans l'appartement (pp.

25 à 28), le pauvre Jacques, la cruche cassée (pp.

29 et 30), la manécanterie(p.

30), en blouse au collège : le « petit Chose » (p.

32).

— Mort du frère abbé (pp.

36 à 40).

— Jacques poète(pp.

42 à 43), les ennuis financiers, la séparation de la famille, une place pour le petit Chose comme pion (pp.

45 à49), retrouvailles avec la vieille servante, Annou, adieu à la fabrique transformée en couvent (pp.

46 à 53).

— Lecollège de Sarlande, l'accueil du principal (p.

56), la première étude (p.

65), les petits (pp.

66 et 67), l'hostilité desautres (p.

68), Bamban, l'avorton bancal (pp.

71 à 73), la section des moyens (p.

74), un pion malheureux (pp.

76et 77), les yeux noirs aperçus à la fenêtre (p.

78), l'abbé philosophe (pp.

79 à 82), la distribution des prix (p.

83).

—La maladie, visite du père (p.

87) puis des yeux noirs (p.

90), la rentrée en habits de cérémonie (p.

93), lecompliment du principal, celui de M.

Viot, la menace de ses clefs (pp.

94 à 96).

— L'affaire Boucoyran, l'humiliation,la préparation du duel (pp.

98 à 105).

— Le maître d'armes et ses lettres d'amour (p.

109), les ennuis qui endécoulent : chassé du collège (pp.

116 à 122).

— Le petit Chose a été joué et ridiculisé (p.

126), tentative desuicide (p.

130), le bon abbé Germane (pp.

130 à 132), départ (p.

134), il règle ses dettes et vole les fameusesclefs de M.

Viot (pp.

135 à 138), en route pour Paris, étape chez l'oncle Baptiste (pp.

140 à 142)- 2.

Paris (chapitres I à XVI, pp.

145 à 316). Le train en troisième classe (pp.

145 et 146), les retrouvailles avec Jacques (pp.

147 à 149).

— Les débuts parisiensde Jacques (pp.

150 à 160), une vraie mère (pp.

161 à 164), essais poétiques du petit Chose (p.

169), la dame dupremier, la négresse d'à côté (pp.

178 à 180).

— Le roman de Pierrotte, frère de lait de Mme Eyssette (pp.

184 à191).

— Les yeux noirs de Camille (p.

192), sa double personnalité (p.

195), la déclaration muette de Camille (p.204).

— Le petit Chose lit son poème chez les Pierrotte (pp.

209 à 225).

— Une vraie déclaration d'amour de Camille(p.

227), Pier-roue veut installer Daniel dans le commerce (pp.

229 à 232), le poème est imprimé à compte d'auteur(pp.

233 et 234), Jacques doit s'absenter de Paris, Daniel est tout désemparé (p.

235), la dame du premier l'invite(pp.

237 et 238).

— Irma Borel, une théâtreuse intimidante (pp.

239 à 247), le petit Chose découvre la vilenie decette aventurière (pp.

248 à 259), il se laisse néanmoins entraîner dans une vie de saltimbanque et de déchéance(pp.

263 à 276), retour précipité de Jacques qui reprend Daniel sous son aile (pp.

274 à 283). — Le coeur n'y est plus (pp.

284 à 292), le petit Chose trouve une place de surveillant général à Montmartre (pp.293 et 294).

— Jacques se meurt de phtisie (pp.

295 à 300), l'abbé Germane lui porte l'extrême-onction (p.

301).

—Le petit Chose est prostré (pp.

304 et 305), il reprend conscience ; Camille est là (p.

306), puis Mme Eyssette,devenue aveugle (p.

309), l'ancienne maison Lalouette devient la maison Eyssette et Pierrotte. L'architecture. »

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