Commentaire Littéraire Rimbaud Ophélie

« Ce texte a été créer au XIXème siècle par Arthur Rimbaud pendant le symbolisme, ce texte se nomme Ophélie et Ophélie est un personnage fictif de la tragédie d’Hamlet créer par William Shakespeare.

Ophélie est un texte descriptif en trois parties.

La première partie raconte comment la végétation est triste pour la mort de Ophélie.

La deuxième partie est nostalgique d’Ophélie.

La troisième partie est une conclusion courte des deux autres parties.

Nous allons voir comment Rimbaud arrive-t-il à donner de nouvelles idées sur Ophélie ? Nous allons tout d’abord analyser la nature vivante et consolatrice que Rimbaud arrive à créer avant de voir qu’Ophélie se transforme peu a peu en personnage mythique et surnaturelle. Tout d’abord, Rimbaud fait une personnification de la nature « où dorment les étoiles » (v1), « Le vent baise ses seins » (v9), « Les saules frissonnants pleurent » (v11), « Les nénuphars froissés soupirent » (v13), « les plaintes de l’arbre et les soupirs des nuits » (v24), « la voix des mers folles » (v25), cette personnification donne un aspect très important à cette Ophélie.

Cette personnification de la nature montre qu’elle est aimée de tous car tout le monde éprouve de la tristesse a sa mort, la nature veut aussi l’aider mais elle sait qu’elle est impuissante face à la mort.

Cette mise en valeur de la forêt a pour but de montrer que non seulement les humains se préoccupe de sa mort mais aussi la forêt. De plus, la nature semble être une sorte de mère grâce à la majuscule « Nature » (v23) mais pas qu’une simple mère, une mère protectrice et consolatrice, « couchée en ses longs voiles » (v3), « Murmure » (v8), « Le vent baise ses seins » (v9), « Ses grands voiles bercés mollement » (v10), « Sur son épaule » (v11), « Sur son grand front rêveur s’inclinent les roseaux » (v12), « elle éveille parfois, dans un aune qui dort » (v14).

En effet, la nature est une mère protectrice et consolatrice pour Ophélie qui la fait se sentir chez elle auprès de sa famille chaleureuse qui attend sagement son retour.

Cette nature représente le lien maternel entre elle est Ophélie.

La nature berce et prend soin du corps d’Ophélie. Mais encore, la nature accompagne Ophélie avec une douce mélodie « un chant mystérieux tombe des astres d'or » (v16).

Mais aussi il y a les hallalis qui accompagne la mort de la jeune Ophélie « on entend dans les bois lointains des hallalis » (v4), cela montre que la nature, sa mère est désemparée de la situation.

La nature l’accompagne tous doucement pour montrer qu’elles ne se quitteront jamais « Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles » (v3).

Mais à un moment l’ambiance devient inquiétante « sur l’onde calme et noire » (v1), « sur le long fleuve noir » ce contraste de situation est là pour montrer que la mort n’est pas si. »