Commentaire littéraire : « Ma bohème » de Arthur Rimbaud

« Commentaire littéraire : « Ma bohème » de Arthur Rimbaud (Torney Benedicte 105) le symbolisme est un courant littéraire et artistique d'origine française de la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle.

Un des poètes qui se trouve au cœur de ce courant est Rimbaud.

Il est une figure majeure de la littérature française, il a écrit ses premiers poèmes à l'âge de 15 ans.

Il publie les Cahiers de Douai en 1919, qui est un ensemble de 22 poèmes écrit lors de ses deux fugues (1870-1871).

Dans ce recueil nous retrouvons le poème « Ma Bohème » qui est le dernier poème du recueil. Comment Rimbaud exprime t-il sa liberté dans se sonnet modernisé ? Nous montrerons d'abord comment exprime t' il sa liberté physique pour enfin montrer une expression de sa liberté poétique. Dans ce poème, Rimbaud va évoquer sa liberté physique tout d'abord par l'évocation d'une errance.

En effet dès le début nous avons l'évocation de sa errance avec le titre « Ma Bohème », tout d'abord le mot bohème qui désigne la façon de vivre le jour au jour dans la pauvreté et l'insouciance.

Puis nous avons aussi la marque du possessif « ma » qui va nous montrer que c'est une poésie lyrique car le poème va parler d'une expérience personnel.Puis nous retrouvons se thème de son errance dans le texte, c'est un thème omniprésent.

Effectivement, ce thème va tout d'abord être marqué par la marque du « je »qui va être elle aussi omniprésente dans ce poème, il va de nouveau nous rappeler que c'est un texte lyrique et que c'est poème propre à lui.

Puis nous avons la présence de verbes d'actions notamment au « je m'en allais »vers.

1 et « j'allais »vers3, ce qui va nous donner une idée de liberté mais aussi une liberté de contrainte, cela nous ramène à l'errance et le voyage.

Les vers 1,3 et 9 vont aussi nous donner des indications spatial qui vont être assez vague « j'allais sous le ciel »vers3, ces indications vont bien sur nous rappeler cette effet de vagabondage, de errance, il nous montre une liberté de mouvement (il va ou il veut quand il veut). Dans ce texte le poète nous fait part du thème de l'errance, mais il va aussi nous montrer que c'est un poète enfantin et rêveur.

Il nous montre cela avant tout par cette façon mélioratif de voir la pauvreté, notamment en nous montrant cette pauvreté à travers son portrait vestimentaire « je m'en allais les poings dans mes poches crevées » vers1 ; vers5, cela va nous donner avant tout une confirmation de la pauvreté de ce poète à ce moment, puis on remarque que malgré cela le poète ne se plain pas de cette pauvreté, malgré son paletot probablement usée, ou bien même son unique culotte troué, à aucun moment dan le poème il ne se plains.

Il va aussi y avoir des sensations virtuel auditive « mes étoiles au ciel avait un doux frou-frou »vers8, cela présente des sensations agréables à la fois auditive vers5 avec le bruit du froissement du tissu, mais aussi virtuel vers10 ou il va sentir des gouttes, cela est aussi grâce aux mot « bons », « doux » qui va permettre de parlé d'une expression heureuse, une expression de bien être.

Ce côté enfantin et rêveur va aussi nous être montrer par l'évocation d'un personnage de compte de fée, Le petit poucet qui se trouve au vers 6. »