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Commentaire chapitre 8 Avant Adam de Jack London

Publié le 24/09/2021

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« Commentaire sur le chapitre VIII d'Avant Adam de Jack London L'extrait proposé à l'explication se situe au chapitre VIII d' Avant Adam de Jack London.

Jack London est un écrivain américain.

Il aime les thèmes d'aventures et de natures étant un grand voyageur lui-même.

Jack London est influencé par plusieurs auteurs comme Charles Darwin grand naturaliste qui a prôné l'évolution des espèces vivantes. Avant Adam est un roman de 1907 inspiré du monde préhistorique.

Il nous fait revivre sous la forme d'une fiction à l'histoire de notre humanité. Nous suivons principalement les aventures de Grande-Dent, l’ancêtre présumé du narrateur qui apparaît dans ses rêves.

Dans les chapitres précédents le narrateur nous raconte ses rêves qui lui semblent être plus que cela.

Il nous raconte la vie de son ancêtre préhistorique qui semble jongler entre homme des arbres et hommes des cavernes. La scène que nous avons là met en avant diverses évolutions de l'homme apportées par de nouvelles découvertes, des inventions.

Durant tout son livre Jack London nous fait passer du présent au passé, du jour à la nuit, du conscient et du rêve.

Nous entrons dans une société qui semble fondée sur la loi du plus fort.

L'animalité et l'Humanité ne font qu'un. Nous pouvons nous demander comment London, à travers la période préhistorique, nous retranscris l'histoire d'une société entre animalité et humanité. Pour cela nous allons montrer que London joue entre présent et passé, puis nous intéresser à l'idée d'invention et d'évolution pour enfin nous concentrer sur la horde, une société en devenir. Pour commencer, le texte est entièrement écrit à la première personne du singulier. Le narrateur raconte ses rêves aussi réellement que si il avait vraiment vécu les faits. Tout au long du récit, le champs lexical de la « mémoire » est employé : « souvenir »(p.61-l.), « rêves » (p.61,l.2), « mémoire »(p.61, l.12).

Cela peut avoir un double sens.

Il peut être employé pour prévenir qu'il se souvient de se dont son rêve parle mais aussi nous faire ressentir qu'il s'agit de quelques chose de réel qui a vraiment eu lieu.

Le lecteur n'est que peu embrouillé par ces retours entre passé et présent cependant cela marque le tempo du récit. Nous sommes comme en plein dans la tête de Grande-Dent puisque nous pouvons savoir ce qu'il ressent « claquant des dents et la face bleui »(p.61, l.4).

Tout ceci est étrangement bizarre pour le lecteur puisqu'on se retrouve dans la tête d'un hominidé qui lui même se retrouve dans la tête, ou plus précisément les rêves, d'un homme du XXe siècle. Cela est d'ailleurs accentué par les interventions très fréquentent du narrateur sur l'histoire qui s'apparente à un récit.

Dans, « Je peux vous dire qu'on en cause dans la tribu! » l'exclamative montre l'engouement du narrateur pour ce qu'il raconte.

Cela nous montre que le narrateur est entièrement convaincu que ses rêves sont vrais.

On a l'impression que le narrateur lui-même ressent le froid, la faim, la douleur etc.. Dans le chapitre VIII, le narrateur semble nous raconter divers souvenirs qui ont plus ou moins des rapports les uns avec les autres.

On peut découper le chapitre en trois grands axes qui ont tous pour lien l'invention contribuant à l'évolution.

Il semble utiliser ses connaissances pour nous raconter ses rêves. Nous sommes face à une sorte de double identité du narrateur qui lui permet de rapporter ses propres connaissances du monde du XXe siècle à un esprit primitif de la préhistoire : « Bien des générations ont du se succéder avant que les descendant de la horde dussent émigrés » (p.62, l.3-4) Ensuite, l'idée d'invention semble étroitement relié à l'idée d'évolution des espèces.

Ici l'invention du récipient prend tout une partie de ce chapitre.

Nous sommes face à une évolution matérielle liée à des besoins spécifiques.

Il s'agit de besoin vital.

Le narrateur semble se sentir obligé de nous informer qui a inventé quoi comme si cela était une avancée capitale pour l'évolution, comme ci cela allait être retranscrit dans un manuel historique.

Exemple avec : « Une autre évolution du récipient est due aux femme ». Par ailleurs, le narrateur ajoute « cet honneur » en parlant de l'invention du récipient comme récipient pour stocker de l'eau ce qui accentue l'idée de grandeur des inventions, de l'évolution.

Par ailleurs, « L'idée une fois en marche, ne pouvait s’arrêter » semble faire référence à ce qui par la suite deviendra l'usinage et le commerce des idées nouvelles.

Le fait de développer des idées qui par la suite se développe a plus grande échelle. La deuxième évolution, invention que l'on peut réellement voir c'est l'adoption d'un animal.

L'idée d'avoir pensé à dompter un animal est déjà un grand pas.

Grande-Dent sacrifie sa propre nourriture pour pouvoir nourrir un animal dont il est le maître.

Même si cette découverte ne verra pas le jour dans ce souvenir l'idée même d'élevage est nouveau et originale. Enfin, ils n'ont pas encore développés le langage cependant avec de simple cris et de simple gestes ils arrivent à ce comprendre ceci est donc l’ancêtre de nos communications actuelles.

Jack London fasciné par les avancés scientifiques et plus précisément par le Darwinisme semble mettre en avant l'évolution avec des êtres à moitié singe et à moitié homme.. »

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