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Camus Albert

Publié le 18/05/2020

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« \HDLN0000100106 \LINK0041400419PE_0867T Camus Albert Écrivain français * 7.11.1913, Mondovi (aujourd'hui Deraan, Algérie) + 4.1.1960, Villeblevin Issu d'une famille modeste, il entreprend des études de philosophie à Alger, qu'il interrompt pour des raisons de santé.

Devenu journaliste, il gagne la France en 1938, s'engage dans la Résistance pendant la guerre, puis devient rédacteur en chef du journal "Combat" de 1944 à 1947.

A l'instar de Jean-Paul Sartre, dont il se détache en 1952 pour divergences d'opinions politiques, il s'engage dans une réflexion approfondie sur la condition humaine.

Son oeuvre au style sobre se divise en trois cycles, composés de romans, essais et pièces de théatre.

Dans le cycle de l'absurde, "L'Etranger" (1942) et "Le Mythe de Sisyphe" (1942) prennent valeur de manifestes de la philosophie qu'il élabore.

Face à l'absurdité de l'existence, c'est par l'action que l'homme peut donner un sens à sa vie et trouver ainsi la liberté et le bonheur.

Le procès de la haine et l'appel à la solidarité, deux thèmes développés dans son célèbre roman "La Peste" (1947), sont au centre du second cycle, celui de la révolte. "La Chute" (1956), qui énonce l'idée qu'il n'y a pas de morale confortable, préfigure le cycle de la Némésis, dernier volet de l'oeuvre de Camus dont il ne laisse qu'un roman inachevé, "Le Premier Homme", publié en 1994.

Partagé sa vie durant entre la création littéraire et l'engagement politique, cet humaniste lucide et courageux ne se contente pas de dénoncer l'oppression et le totalitarisme ("L'homme révolté", 1951), il condamne toutes formes de "terrorisme", choisissant ainsi la voie de l'apaisement, dès le début de la guerre d'Algérie (appel à la "trêve", en janvier 1956, à Alger).

En 1957, trois ans avant sa mort dans un accident de voiture, il reçoit le prix Nobel de littérature.

Parmi ses autres ouvrages importants : "Caligula (1944) ; "Les Justes" (1949) ; "Actuelles" (I, II, II, 1950, 1953, 1958) ; "L'Exil et le royaume" (1956) ; "Les Possédés" (d'après Dostoïevski, 1959). 1. »

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