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Bonheur

Publié le 18/05/2020

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« L’éthique parmi les deux suivantes, le cynisme et l’épicurisme, qui me paraît proposer le meilleur art de vivre De grands philosophes posaient comme principe que le bonheur est le but de la vie humaine.

Ce qui semble différencier le bonheur du plaisir, c'est que le bonheur se vit avec l'esprit.

C’est un sentiment de plénitude dont on a conscience tandis que le plaisir est plus physique, impulsif, émotionnel et ne satisfait pas forcément.

Si le bonheur repose sur une attitude, il est dans l'être et non dans l'avoir.

On a parfois tous tendance à penser que c’est lié à ce qu'on possède, alors qu'il est peut-être davantage lié à notre âme.

L’éthique de l’épicurisme se rapproche le plus à ma définition de ce qu’est le bonheur.

Je vais la défendre en comparent ses éthiques du plaisir avec celles des cyrénaïques. Selon moi, l’éthique qui me paraît proposer le meilleur art de vivre serait l’épicurisme, car les plaisirs de l’âme et de l’esprit durent plus longtemps que celles physiques.

Épicure était un philosophe avec une éthique naturaliste et hédoniste.

Les épicuriens se laissent guider par les sensations de plaisir et de souffrance (le bien et le mal).

Ils croient au bonheur de la vie matérielle terrestre et de s’y jouir.

Épicure prenait compte des plaisirs et des déplaisirs passés et futurs (souvenirs).

Il croit que le plaisir le plus important se trouve dans la troisième phase de la structure du plaisir donc le moment de repos, de détente et d’absence de tension.

Par exemple, le plaisir passif après le seuil de l’excitation lors d’une relation sexuelle.

Pour lui, le bonheur est le plaisir passif, peu importe qu’il s’agisse d’excitation ou de douleur.

Épicure avait dit : « Le dernier degré du bonheur est l’absence de tout mal ».

Bref, le bonheur réside dans un état d’ataraxie.

Les critères du temps pour les épicuriens sont les plaisirs spirituels de l’âme comme les souvenirs et les anticipations.

Ils sont aussi importants que les plaisirs matériels physiques.

Enfin, Épicure disait que les douleurs physiques ainsi que les plaisirs actifs finissent par disparaître en peu de temps : « Toute douleur est facile à mépriser : celle dont la peine est intense est d’une brève durée, celle qui dure dans la chair s’accompagne d’une faible peine ».. »

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