Apologie de Socrate – Sagesse

« Apologie de Socrate – Sagesse : Le Dieu en déclarant Socrate le plus sage , (c lui qui a) par l’intermédiaire de l’oracle humilié cette forme de savoir qui n’en est pas un , le dieu humilie cette forme de savoir qui consiste à s’attacher à un contenue et à le revendiquer comme une sorte de certitude irréversible , imparable, intangible (ce qui est contradictoire avec une opinion).

L’apologie de Socrate procède à peine par ironie, ce n’est pas une forme de rhétorique, c un travail de renversement par rapport à l’illusion (je désir voir se réaliser et substitue à une réalité subjective) l’ironie c le renversement de l’illusion, cette forme de savoir avec l’illusion, une illusion suppose une substitution (on substitue une réalité à une autre).

8 :00 prétend être du cote de celui qui est dans l’illusion, alors Mélétos qu’en pense tu, et une fois place publique, quand exprimé ce à quoi Mélétos est attaché, on considère ce contenue comme n’étant pas de l’ordre de la certitude et ça ne peut donc pas être un savoir. Quand demande c quoi ta certitude montre que ça n’en est pas une.

Manifester un savoir qui n’est qu’un faux savoir pour que ce savoir prétendu se dévoile lui-même, moi Socrate ignorant, je laisse l’autre manifester ce soi-disant savoir, une fois publique, prononcé dans un discours que tout le monde a entendu, montre ses incohérences, prétends qqc point de vue de la morale qui est dangereux.

(Faut que l’autre soit prêt à dévoiler son savoir ->fait partie de la pratique platonicienne).

13 min -sec Une des enjeux est de remettre en cause le sens de ce mot Sophia . Cela a évidemment un lien avec la condamnation de Socrate.

Idée que la sagesse (posséder ce savoir permet) finalité de l’homme et le savoir.  Sagesse suppose de faire de ce savoir une fin qui permette d’agir de manière à orienter l’âme vers le bien commun, vers le bien de la cité.

(Si philo grecque, savoir théorique en soit si ne permet pas d’orienter l’action et s’accomplir en tant que citoyen). Nous assistons à la transformation du mot Sophia dans le dialogue.

Il s’agit de la désirer, de l’aimer. Il n’y a pas d’effort à faire pour savoir (contradictoire dans) cette conscience de l’ignorance provoque, implique un effort rationnel, sans cesse renouvelé, donc pas de réification (res (la chose en latin) je fais comme si le savoir est une chose que je possède et comme je la possède j’ai moi mm la qualité, je suis savant, quelqu’un qui connait) (idée on s’assoit et dis ns le savons).

On vient de s’entendre sur qqc et remet en cause juste après (ex : fédon, Cébès Sinnias doute de l’immortalité, effort rationnel sans cesse renouveler pour s’assurer de son savoir).

(Enjeu pas on complète le savoir dans Platon  non) Avoir un rapport actif a la maitrise supposée de son savoir. L’inscience , l’ignorance sert donc le propre du savoir véritable .

(Peut Acheter (pas obligatoire) -> Le naturel philosophe de Monique Dixsaut, édition 2016 Vrin poche, page 84 explication qu’il s’agit avec cette affirmation d’une ignorance qui est le propre mm de celui qui sait, qui sait véritablement, en un sens platonicien, est d’empêcher trois choses au moins, trois mauvaises voix,. »