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analyse linéaire le père goriot

Publié le 18/05/2021

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« Le Père Goriot, Mme Vauquer, Balzac,1835 Introduction : - auteur : Balzac, en 1835 est déjà connu pour quelques grands romans tels Eugénie Grandet (1833) et La Peau de chagrin (1831) - Le Père Goriot : c’est ce roman qui fait entrer Balzac dans un des grands de la littérature de son époque.

C’est bien une scène de la vie privée mais aussi une histoire parisienne qui reflète un tableau précis de la ville et qui est incarné par trois personnages, Goriot « le père éternel », Vautrin et Rastignac, l’arriviste résolu, devenu un type.

Ce roman illustre le fait que tous sont attirés par l’argent dans une ville comme Paris.

- détails : l’engouement du public est total et immédiat.

Balzac montre le lien nécessaire du cadre au personnage et réciproquement. Portrait de Mme Vauquer : ouverture du roman par une description du cadre spatiotemporel (Paris, 1819).

Le romancier se sert de la définition de ce cadre pour introduire son personnage.

En effet l’aspect de délabrement de la pension s’explique par le caractère de la proprio et réciproquement. Lecture Mouvement : portrait dynamique mais morcelé, l’unité du personnage n’apparait qu’au terme de la page.

Un mouvement général qui reflète d’une accumulation de détails, pas de parties notables, juste linéairement. Projet de lecture : Jusqu’où le romancier transfigure le réel ? 1 ère partie : « cette pièce » à « écœurée » a) « Cette pièce est dans tout son lustre », employée de manière ironique comme s’il y avait un éclat du décor, cette volonté de transfiguration de ce salon par son créateur crée une misérable splendeur suggérer par le romancier b) « Vers sept heure du matin » GN qui a une valeur d’indication temporelle qui permet de faire la liaison entre le cadre de la pension et la propriétaire.

Ce détail apporte ainsi une impression de vérité. c) « Ce bonnet de tulle » Balzac entame sa description au moment où s’éveille la vie et commence en partant de l’extérieur de la silhouette et utilise le verbe « se montre » pour marquer cela.

Ce verbe marque aussi l’absence de passion dans la description du romancier.

Ce bonnet qui recouvre des faux cheveux mal mis illustre de manière totale un des premiers traits de caractère de la veuve : elle a une prétention dérisoire à la coquetterie et au mauvais goût.

Le bonnet étant de Tulle (fait en dentelle mécanique), la coquetterie s’apparente alors à de la misère. d) « Attifée » le participe passé expose ici la vanité du personnage qui veut se rajeunir, qui se transforme en bizarrerie.

L’allure de la veuve donne un premier aspect de la description globale de celle-ci. e) « Pantoufles grimacées » ce GN est un détail suggestif qui permet de clore le regard allant de la tête au pied dans les cinq premières lignes et aussi de mettre l’accent sur le manque de soins de sa propriétaire et son avarice sordide par l’usure de ses pantoufles.. »

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