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analyse linéaire le malade imaginaire acte III, scène 3: Comment Molière introduit dans cette scène sa propre critique sur la médecine?

Publié le 29/05/2021

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« Molière est un dramaturge du 17 ème siècle, il est le fondateur de plusieurs pièces de thé âtre.

Il a servi s ous le règne de Louis 14 et appartient au mouvement du classicisme qui est l ’idée de défendre l ’ordre, l ’harmonie et l ’équilibr e, il ne faut pas laisser ses sentim ents prendre le dessus.

Son thé âtre e st cathart ique , cela consiste à purger les défauts de certains grâce au rire comme l’avarice, l ’hypocris ie…Dans cette scène on assiste à un d ébat entre ses deux frère s ayant deux idées opposé es, l ’un sacralise la médecine et l ’autre l es traitent de ch arlatans.

Comment Mol ière introduit dans cette scène sa propre critique sur la médecine ? °vrai question de la part d ’argan en montrant une volont é de réfle xion sur le sujet grâce aux verbes « raisonner » cela est surprenant car argan est un personnage assez colérique. °Son frère affirme que non .

°Argan est choqu é par les propos de son frère , on r emarque que lui cro it en la médecine car une grande parti e de la population y croit, c ’est l ’op inion partagée .

Cela s’oppose à sa volont é de réflexion dans sa première réplique une opposition entre le verbe rai sonner et comportement de mouton.

Il y a une hyper bole en tous, car comme on le voit tout le monde n ’y croit pas , exemple : Béral de. °Béralde lui veut réfléch ir sur le sujet grâce à l ’expression : « regarder les choses en philosophe ».

Il utilise le champ lexi cal de la folie : « grandes folies » / « plaisante momeries » / « plus ridicule » pour désigner la médecine.

Utilise la négation totale pour la médecine : « je ne vois point » / « je ne vois rien ».

Il y a une opposition en tre le car actère confi an t d ’Ar gan et la méfiance totale de B éralde. °Ar gan repose une question. °Béral de dit au présent de vérité générale que les médecins ne peuvent pas n ous guérir alors qu ’ils ne connais sent même pas comment fon ctionne le corp s : « les ressort de nos machines sont des mystères » il utilise une métapho re pour désigner le f onctionnement d u corp s.

°Argan requestionne son frère, comme un enfant il cherche toujours plus loin jusqu’à en agacer l’autre , en affirmant que les médecins connais sent plus de choses que les gens ordinaires. °Bérald e affirme que oui il s en savent mais pas sur la méde cine : ils ont de la cultur e « par ler en beau latin, nommer en grec, les définir, les diviser » (énumération de verbes à l ’infinitif).

Mais ne savent pas gu érir.

Ici il y a une satire de la médecine de l a part de Molière qui donne son avis sur les médecin s et pense que c omme Bérald e ils ne savent pas guérir. °Argan montre que le médecin est supérieur aux au tres. °Béralde pré sente le médecin comme un magicien avec des formule : « pompeux galimatias / spa cieux babils ».

Il pense qu ’ils ne guérissent pas et embrou ille nt juste la tête du patient pour les escroquer ou le s impressionner pour flatter le ur propre égo. °Ar ga n contredi t encore son frère et affirme que tout le monde utilise la médecine .

Encore l ’opinion partagée .

Il leur fait confiance car le mond e y fait conf iance , cela montre sa difficulté à vouloir se faire sa propre idée. °Béralde pense que le monde est naïf car il s font confi ance à ces magiciens. °Ar gan contredit encore une fois son frère et dis que les médecins eux même l’utilise don c c ’est sans danger, encore une fois il suit l ’idée des autres, par rapport aux autres, c ’est un suiveur. On peut voir. »

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