Catégorie : Cinéma
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Paul
Paul (2011) Director: Greg Mottola (Superbad , Adventureland ) http://www.youtube.com/watch?v=Cultm72ORt4 http://www.youtube.com/watch?v=KdHUQtnJsyQ Actors : Simon Pegg (Graeme Willy) and Nick Frost (Clive Gollings) (Hot Fuzz, Shaun of the Dead) Writers Kristen Wiig (Ruth Buggs) (Bliss, Adventureland) Jane Lynch (Pat Stevens) Paul's voice : Seth Rogen
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ROMY SCHNEIDER
ROMY SCHNEIDER Claude Sautet a donné à Romy Schneider quelques -uns de ses plus beaux rôles : LES CHOSES DE LA VIE, MAX ET LES FERRAILLEURS, CÉSAR ET ROSALIE ou UNE HISTOIRE SIMPLE. Il parle d'elle. "Je ne suis peut -être pas très bonne comédienne. Je ne suis peut -être pa s très bien foutue, mais je suis photogénique, ça je le sais ! C'est ma chance ! Mon père me l'a dit !" Ainsi m'avait parlé Romy la première fois que je l'ai rencontrée. Etre à la hauteur de sa photogénie...
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MICHEL SIMON.
MICHEL SIMON. Fils d'un charcutier suisse, Michel Simon avait été photo - graphe, boxeur, et même manager d'un champion qui s'appelait Nietzsche. Il avait, comme un enfant, besoin de chaleur et d'affection. C'est dans l'amitié qu'il trouvait son confort, et il devenai t alors un étonnant conteur d'histoires qu'il est malheureusement difficile de rapporter, car il a passé autant de temps dans les bordels de l'avant -guerre que dans les studios de cinéma. La photographie qui se trouve au...
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JEAN SEBERG.
JEAN SEBERG. Elle restera toujours la petite blonde qui vendait le "Herald Tribune" sur les Champs -Élysées. En 1959. Dans A BOUT DE SOUFFLE, bien sûr. Dans ce premier film et coup de maître de Jean -Luc Godard, Jean Seberg opposait à un Belmondo hors -la -loi, traqué, anarchisant, une fraîcheur e t un côté rose bonbon bien anglo- saxons. Les yeux rieurs, les cheveux presque ras, le joli sourire et la pointe d'accent yan - kee séduisirent le public français. Dès lors, entre 1960...
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ANNABELLA.
ANNABELLA. Menue, avec une voix qui peut s'évanouir en un souffle, des mouvements doux, des ye ux effarouchés et on ne sait quoi de flexible dans sa personne. Souvent cependant une volonté farouche l'anime et l'espoir la soulève. Au coeur d'actions insensées, elle brave le sort. Son visage pur accroche la lumière, la diffuse, et accorde ses reflets aux joies enfan tines, aux bonheurs fugitifs. L e drame n'est pas son fait. Elle excelle dans la résignation consentie, lourde de soupirs fu...
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ARLETTY.
ARLETTY. "Atmosphère... atmosphère... est -ce que j'ai une gueule d'atmosphère ?.." La réplique est pratiquement passé e dans le langage populaire. Cette réplique d'HÔTEL DU NORD qu'Arletty "balance" avec toute sa gouaille, près du Canal St - Martin, à un Louis Jouvet cynique qui l'exploite et la "pro- tège" sur le bitume. La scène est inoubliable, et le film de Marcel Carné propulse définitivement Arletty au firma ment des stars françaises de l'entre -deux -guerre...
- H ARRY BAUR.
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JACQUES BECKER.
JACQUES BECKER. De Jacques Becker, on croit avoir tout dit en parlant de per - fectionnisme, de rigueur artisanale, d' équilibre et de mesure "à la française". Français, il l'était en effet par tous ses pores, "français comme la rose de Fontenelle et la bande à Bonnot", dira Jean -Luc Godard. Ses films, même les plus légers (je songe à FALBALAS, à ÉDOUARD ET CAROLINE, à TOU CHEZ PAS AU GRISBI), ne prennent pas une ride : chaque génération nouvelle de cinéphiles en découv...
- J ANE BIRKIN.
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JULES BERRY.
JULES BERRY. On lui a fait jouer des canailles, des aigrefins, des tristes sires et il a composé le Diable dans un style flamboyant. Sa popula - rité n'en a jamais été altérée. Aujourd'hui encore, quand il envahit l'écran, le geste assuré, le sourire avantageux, des onde s de sympathie se propagent à travers la salle. Victoire de son élégance, de la fameuse désinvolture avec laquelle il arbore le huit -reflets, joue de sa canne, se cambre dans son frac. Triomphe de ses mains qui, à elles...
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BERNARD BLIER.
BERNARD BLIER. 44 ans de carrière (et elle n'est pas finie !), plus de 180 films depuis 1938, d'innombrables succès au théâ tre (dont LE NOMBRIL de Jean Anouilh)... Comment, dans ce foison- nement, résumer Bernard Blier, comment le définir, lui qui a tout joué, les durs et les tendres, les veules et les généreux ? Sa rondeur, sa bonhomie apparente (dissimulant souvent mesquineri e ou méchanceté) pourraient être la clé du per - sonnage. Et pourtant, Blier ne présente cet aspect physique q...
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CHARLES VANEL.
CHARLES VANEL . Charles Vanel c'est la force tranquille du cinéma. Du jeune premier du muet au vieillard de ses derniers films, c'est le même regard assuré, la même stature imposante et cette voix qui s'affirme sans qu'il lui soit besoin d'élever le ton. Au cou rs d'une vie et d'une carrière qui se confondent avec l'histoire du cinéma il a tout joué avec conscience, avec talent sans jamais faire "la star" et en protégeant sa vie privée. Acteur de théâtre dès 1908, de cinéma en 1...
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B OURVIL.
BOURVIL. Aux heures les plus sombres de l'Occupation, la France entière écoutait la radio. De Suisse nous parvenait la voix d'un chanteur nommé Pierre Dudan qui détaillait une chan - son nostalgique sur "le café au lait au lit". Bientôt sur les ondes françaises se fit entendre un chanteur et conteur assez obscur se faisant appeler Bourvil. Au lendemain de la Libération Bourvil mit au service du cinéma le personnage de paysan ahuri mais malicieux qui lui avait valu une immense p...
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CARETTE.
CARETTE. Carette, c'e st le titi parisien par excellence : le parler grasse- yant, une faconde de camelot, une "sèche" toujours plantée au coin des lèvres et l'oeil pétillant de malice. De petite taille, avec des bras toujours trop courts pour des manches de vestes toujours trop longues et, surtout, cette voix si caracté - ristique... Bref, une vraie nature ! Il n'a guère tardé à devenir indispensable au cinéma fran- çais — 130 films en 30 ans — où les plus grands metteurs en...
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MARCEL CARNÉ.
MARCEL CARNÉ. Carné est l'anagramme d'é cran. C'est un signe pour celui qui parmi d'autres grands, est né avec le cinéma ou presque et n'a vécu que pour lui. Mais si les lettres ont leur sens et leur ordre, pour situer Marcel Carné il est plus utile d'assembler celles qui forment les titres pres tigieux de films si parfaits que, sans eux, le cinéma français ne serait pas ce qu'il est. Au référen dum des "Césars" en 1978, LES ENFANTS DU PARADIS ont été placés en tête des meilleur...
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MARTINE CAROL.
MARTINE CAROL. Carol...ine chérie ! Sans jeu de mots, c'est le nom de l'héroïne de Cecil Saint -L aurent qui est resté attaché à cel ui de Martine Carol. La comédienne obtient le rôle en 1950 (sept ans après ses débuts à l'écran) grâce à un référendum qui la désigne alors comme l'actrice idéale pour ce personnage un tantinet libertin. Car Martine Carol était aimée du public et des journ alistes. C'était la star à la française : gentille, charmante, accessible, ne refusant jamais une ph...
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LESLIE CARON.
LESLIE CARON. La Leslie Caron première manière (début des années cin - quante) nous a laissé des traces fortement teintées du Technicol or de la Metro -Goldwyn -Mayer : son visage de femme -enfant et son regard de biche au milieu des marion - nettes de "Lili", son joli corps de danseuse suivant les savantes arabesques de Gene Kelly dans UN AMÉRICAIN A PARIS... Sacrée reine de la comédie musical e par Holly- wood, elle tourne également LA PANTOUFLE DE VERRE (adaptation de Cendrillo...
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RENÉ CLAIR.
RENÉ CLAIR. On ne dit pas des personnages à la Fritz Lang, à la Murnau, ou à la Rossellini, mais on dit des personnages à la René Clair : il est un des rares créateurs du cinéma qui ait laissé derriè re lui un petit monde qui lui appartient. La farandole de ses bonsh ommes a pris son élan dans le L una -Park d'ENTR'ACTE, glissé SUR LES TOITS DE PARIS et mêlé LES DEUX TIMIDES aux BELLES DE NUIT. Ces personnages ont pour grand -père Eugène Labiche et pour on cle Erik Satie ; ils sont...
- D ALIO.