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JEAN SEBERG.

Publié le 07/12/2021

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JEAN SEBERG.
Elle restera toujours la petite blonde qui vendait le "Herald
Tribune" sur les Champs-Élysées. En 1959. Dans A BOUT
DE SOUFFLE, bien sûr. Dans ce premier film et coup de
maître de Jean-Luc Godard, Jean Seberg opposait à un
Belmondo hors-la-loi, traqué, anarchisant, une fraîcheur et
un cô...

« JEAN SEBERG.

Elle restera toujours la petite blonde qui vendait le "Herald Tribune" sur les Champs -Élysées.

En 1959.

Dans A BOUT DE SOUFFLE, bien sûr.

Dans ce premier film et coup de maître de Jean -Luc Godard, Jean Seberg opposait à un Belmondo hors -la -loi, traqué, anarchisant, une fraîcheur e t un côté rose bonbon bien anglo- saxons.

Les yeux rieurs, les cheveux presque ras, le joli sourire et la pointe d'accent yan - kee séduisirent le public français.

Dès lors, entre 1960 et1968, la petite Américaine fit une carrière suivie en France, mais sans trop de bonheur (si l'on excepte L'AMANT DE CINQ JOURS de Philippe de Broca et LA LIGNE DE DÉMAR CATION de Claude Chabrol).

Cependant, en 1963, Jean Seberg fit un retour à Hollywood (où elle avait été lancée par Otto Preminger dans SAINTE JEANNE) pour y to urner LIL ITH sous la direction de Robert Rossen.

Profondément névrosée mais dégageant une extraordinaire poésie, Lilith est peut- être le personnage qui ressemble le plus à la vraie Jean Seberg.

Celle qui allait être très perturbée dans les aimées soixante -dix, qui ressentit le besoin de s'engager dans une activité anti -raciste aux États -Unis et qui fut, pour cette raison, harcelée par le F.B.I.

La "petite Américaine idéaliste" (comme la qualifia son second mari, l'écrivain Romain Gary) devait finalement se suicider en septembre 1979.

Dans ce contexte, les quelques films qu'elle avait pu tourner après 1968 — AIRPORT, L'ATTENTAT, LE GRAND DÉLIRE...

— ne pesèrent certainement pas bien lourds dans la balance.

GEORGES COHEN. »

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