6 résultats pour "funeste"
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Les discours actuels sur le malheur des jeunes face à « l'incertitude de l'avenir » irritent l'auteur de cette page ; elle réplique : « Ces platitudes, tant de fois entendues, entretiennent une mystification à la fois déloyale et funeste. »
Vous direz ce que vous pensez de ce point de vue de France Quéré.
ÉPREUVE 2 Bordeaux, Caen, Clermont-Ferrand, Limoges, Nantes, Orléans-Tours, Poitiers, Rennes Juin 1991 TEXTE Les nouvelles générations auraient les épaules chargées d'un préjudice aussi affreux qu 'inédit : l'incertitude de l'avenir. Ces platitudes, tant de fois entendues, entretiennent une mystifi cation à la fois déloyale et funeste. À quoi sert-il de se lamenter sur 5 une sorte de fatalité que nos savants analystes s'appliquent à décrire comme imp...
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Le manifeste de BrunswickUne funeste «gaffe».
1 / 2 Le manifeste de Brunswick Une funeste
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CHAMFORT conclut ainsi son Éloge de Molière (1766) : N'existerait-il pas un point de vue d'où Molière découvrirait une nouvelle carrière dramatique ? Répandre l'esprit de société fut le but qu'il se proposa. Arrêter ses funestes effets serait-il un dessein moins digne d'un sage ? Verrait-il sans porter la main sur ses crayons l'abus que nous avons fait de la société et de la philosophie, le mélange ridicule des conditions, cette jeunesse qui a perdu toute morale à quinze ans, toute se
CHAMFORT conclut ainsi son Éloge de Molière (1766) : N'existerait-il pas un point de vue d'où Molière découvriraitune nouvelle carrière dramatique ? Répandre l'esprit de société fut le but qu'il se proposa. Arrêter ses funesteseffets serait-il un dessein moins digne d'un sage ? Verrait-il sans porter la main sur ses crayons l'abus que nousavons fait de la société et de la philosophie, le mélange ridicule des conditions, cette jeunesse qui a perdu toutemorale à quinze ans, toute sensibilité à vin...
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Le manifeste de Brunswick:Une funeste «gaffe».
1 / 2 Le manifeste de Brunswick Unefuneste «gaffe)) En août 1792, au moment où l'Autriche et la Prusse coalisées s'apprêtent à enva hir la France, parvient, à Paris, un «ma nifeste» signé par Charles-Ferdinand Guillaume, duc de Brunswick, généralis sime des armées alliées, et rédigé au quartier général de Coblence, le 25 juil let 1792. Ce manifeste, véritable décla ration de guerre qui suscitera en France l'indignation générale, tire ses ori...
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