6 résultats pour "feintes"
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« Les hommes ont toujours aimé lire des histoires, dont ils savaient qu'elles étaient feintes, parce qu'ils en attendaient une vérité plus intime, plus vaste, plus proche de leur coeur que la vérité dite historique », affirme le philosophe Jean Guitton.En vous référant précisément à vos lectures, vous vous demanderez de quelle vérité l'oeuvre littéraire, malgré son caractère fictif, peut être l'expression.
« Les hommes ont toujours aimé lire des histoires, dont ils savaient qu'elles étaient feintes, parce qu'ilsen attendaient une vérité plus intime, plus vaste, plus proche de leur coeur que la vérité dite historique »,affirme le philosophe Jean Guitton.En vous référant précisément à vos lectures, vous vous demanderez de quelle vérité l'oeuvre littéraire,malgré son caractère fictif, peut être l'expression. • Jean Guitton (né en 1901), philosophe français catholique, a publié des études sur de gra...
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La Fontaine écrit, au sujet de la fable : « En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire. » Montrez, en prenant des exemples dans quelques-unes des fables que vous connaissez, comment il atteint ce double but.
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« Les hommes ont toujours aimé lire des histoires, dont ils savaient qu'elles étaient feintes, parce qu'ils en attendaient une vérité plus intime, plus vaste, plus proche de leur coeur que la vérité dite historique ». De quelle vérité l'oeuvre littéraire, malgré son caractère fictif, peut être l'expression ?
Vérités à portée universelle ? Y a-t-il une vérité ?=> Comment le récit littéraire, la fiction, parvient à argumenter, à convaincre, à faire passer ses idées commevraies ? Par le dialogue mais aussi la correspondance et surtout l'essai, les auteurs ont souvent tenté de présenteret d'argumenter ce qui est, pour eux, une vérité, leur avis. Toutefois, ces genres restent ardus et donc ne peuventtoucher tout le monde. C'est pourquoi de nombreux auteurs ont recourt à la fiction : I- L'intérêt d...
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Incipit d'Un amour de Swann (Proust)
L'incipit d' Un amour de Swann situe l'action. Dans l'extrait étudié (de « Pour faire partie du petit noyau » à « pour avoir trop ri »), Swann se trouve dans un lieu qui ne lui correspond pas : un salon grotesque et ridicule. Le narrateur évoque, avec ironie, le salon de l'intérieur et de l'extérieur. Il apparaît comme le double de Swann, son complice faceau clan Verdurin dont il nous donne une vue panoramique pour finir sur un zoom de son chef : Mme Verdurin. Proustmet ici la parole en scène...
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On a pu dire que le théâtre était, parmi les genres littéraires, le plus conventionnel. Après avoir précisé quelles sont les conventions essentielles que le théâtre impose, vous chercherez les raisons pour lesquelles le spectateur se soumet volontiers à ces conventions et accepte sur scène les fantaisies les plus débridées qu'il refuserait dans la vie réelle ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d'une part il implique que l'on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d'autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leursconséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu'il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adjecti...
- moliere