14 résultats pour "1590"
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AMBROISE PARÉ(Vers 1509-1590) - BIOGRAPHIE.
1 / 2 AMBROISE PARÉ (Vers 1509-1590) Celui qui devait être nommé à juste titre le « père de la chirurgie moderne ,. est né à Bourg-Hersent vers 1509. Il s'initie à son art chez un médecin de Vitré, avant de devenir maître chirurgien à Paris en 1536 et d'ouvrir une officine. Devenu chirurgien d'armée, il va avoir l'occasion de participer à plusieurs batailles et de se trouver confronté aux terribles blessures provoquées par les armes à feu. Ces...
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PEINTURE: Germain Pilon (Vers 1537 - 1590)
Germain Pilon (Vers 1537 - 1590) Entre le réalisme médiéval et le pathétique baroque, Pilon fut au XVIe siècle l'un des premiers sculpteurs des tempsmodernes. Il travailla au service de Catherine de Médicis, de Charles IX, exécutant des œuvres religieuses et desbustes. La chapelle des Valois. Fils de sculpteur, Germain Pilon fit des études universitaires et fut l'élève de Pierre Bontemps, avec lequel il collaboraen 1557-1558 pour l'exécution de huit "génies funèbres" destinés au tombeau de Franç...
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VOUET, Simon (8 janvier 1590-juin 1649)
VOUET, Simon (8 janvier 1590-juin 1649) Peintre C’est dans l’atelier de son père, Laurent Vouet, peintre des Ecuries du roi Henri IV , que Simon apprend son métier. Dès 1604 il peint des portraits qui étonnent. Après un séjour à Londres, et un autre à Constantinople, où il accompagne l’ambassadeur de France, Vouet arrive en Italie. En 1614 il est à Rome. Et dès l’année suivante il reçoit une pension de la régente Marie de Médicis . A Rome, à Gênes, à Rome à nouveau en 1623, où il obtient de po...
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GARNIER, Robert (1544-1590)Poète, il est l'auteur de tragédies qui annoncent le classicisme : Les fuives.
GARNIER, Robert (1544-1590) Poète, il est l’auteur de tragédies qui annoncent le classicisme : Les fuives.
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Tobie Verhaecht1561-1631Paysagiste né et mort à Anvers, franc-maître en 1590, doyen en 1594 et 1595.
Tobie Verhaecht 1561-1631 Paysagiste né et mort à Anvers, franc-maître en 1590, doyen en 1594 et 1595. Il alla en Italie, séjourna à Rome et Florence. Oncle par alliance de Pierre-Paul Rubens, il fut son premier maître. Il peignait, de préférence, des paysages accidentés ; on connait peu d' œ uvres de lui : Scènes d'une chasse de l'empereur Maximilien Ier (Bruxelles).
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BOURBON, Charles de (1523-1590)Cardinal, archevêque de Rouen, il se laisse proclamer par la Ligue roi de France sous le nom de Charles X, en 1589.
BOURBON, Charles de (1523-1590) Cardinal, archevêque de Rouen, il se laisse proclamer par la Ligue roi de France sous le nom de Charles X, en 1589.
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Veit BachTrisaïeul de Jean-Sébastien, boulanger de son état, qui s'établit à Wechmar (près de Gotha)en 1590, était grand amateur de luth.
Veit Bach Trisaïeul de Jean-Sébastien, boulanger de son état, qui s'établit à Wechmar (près de Gotha) en 1590, était grand amateur de luth. “ Ce petit cercle de famille s'est étendu jusqu'à couvrir de nos jours tout le monde enchanté de la musique ” (Dyson).
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Hercule Seghers1589/1590-vers 1638Paysagiste et graveur ; né à Haarlem ou Amsterdam, élève de Coninxloo, maître de laGuilde de Haarlem en 1612.
Hercule Seghers 1589/1590-vers 1638 Paysagiste et graveur ; né à Haarlem ou Amsterdam, élève de Coninxloo, maître de la Guilde de Haarlem en 1612. Etabli à Amsterdam, il travailla aussi à Utrecht et La Haye. Ses œ uvres sont rares et témoignent d'une personnalité originale. Dans la Collection Van Beuningen : La Vallée , à Londres (collection particulière) : Panorama .
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Bataille d'Ivry (1590)Face à Charles de Lorraine, duc de Mayenne, qui conduit les troupesde la Ligue des catholiques, Henri de Navarre, bientôt Henri IV.
Bataille d'Ivry (1590) Face à Charles de Lorraine, duc de Mayenne, qui conduit les troupes de la Ligue des catholiques, Henri de Navarre, bientôt Henri IV. Tourné vers ses chevaliers, il lance : “ Mes compagnons, Dieu est pour nous ! Voici ses ennemis et les nôtres ! Voici votre roi ! Si vous perdez vos cornettes, ralliez-vous à mon panache blanc. Vous le trouverez au chemin de la victoire et de l'honneur ! ” (Les “ cornettes ” citées par Henri IV sont les officiers portant les étendards.)
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PARE, Ambroise(vers 1509-1590)ChirurgienC'est probablement chez un barbier d'Angers ou de Vitré que le jeuneAmbroise Paré commence un apprentissage de la médecine qu'ilcomplétera à Paris chez un barbier-chirurgien.
PARE, Ambroise (vers 1509-1590) Chirurgien C’est probablement chez un barbier d’Angers ou de Vitré que le jeune Ambroise Paré commence un apprentissage de la médecine qu’il complétera à Paris chez un barbier-chirurgien. Après trois ans passés à l’Hôtel-Dieu en qualité d’aide, il est reçu maître barbier-chirurgien, vers 1536, et entre aussitôt dans l’armée, au service du maréchal Montejean en qualité de chirurgien. Trois ans plus tard, il est de retour à Paris, mais lorsque la guerre reprend en 1...
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VOUET, Simon (8 janvier 1590-juin 1649) Peintre C'est dans l'atelier de son père, Laurent Vouet, peintre des Ecuries du roi Henri IVF112, que Simon apprend son métier.
VOUET, Simon (8 janvier 1590-juin 1649) Peintre C’est dans l’atelier de son père, Laurent Vouet, peintre des Ecuries du roi Henri IV , que Simon apprend son métier. Dès 1604 il peint des portraits qui étonnent. Après un séjour à Londres, et un autre à Constantinople, où il accompagne l’ambassadeur de France, Vouet arrive en Italie. En 1614 il est à Rome. Et dès l’année suivante il reçoit une pension de la régente Marie de Médicis . A Rome, à Gênes, à Rome à nouveau en 1623, où il obtient de po...
- PARE, Ambroise(vers 1509-1590)ChirurgienC'est probablement chez un barbier d'Angers ou de Vitré que le jeuneAmbroise Paré commence un apprentissage de la médecine qu'ilcomplétera à Paris chez un barbier-chirurgien.
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PARE, Ambroise (vers 1509-1590) Chirurgien C'est probablement chez un barbier d'Angers ou de Vitré que le jeune Ambroise Paré commence un apprentissage de la médecine qu'il complétera à Paris chez un barbier-chirurgien.
PARE, Ambroise (vers 1509-1590) Chirurgien C’est probablement chez un barbier d’Angers ou de Vitré que le jeune Ambroise Paré commence un apprentissage de la médecine qu’il complétera à Paris chez un barbier-chirurgien. Après trois ans passés à l’Hôtel-Dieu en qualité d’aide, il est reçu maître barbier-chirurgien, vers 1536, et entre aussitôt dans l’armée, au service du maréchal Montejean en qualité de chirurgien. Trois ans plus tard, il est de retour à Paris, mais lorsque la guerre rep...
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