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VOLTAIRE: « La guerre des Abares et des Bulgares » CANDIDE

Publié le 02/12/2021

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Voltaire  né en novembre 1694 à Paris où il meurt le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle. Il est engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser. Dans l’extrait : « La guerre des Abares et des Bulgares « tiré du texte : « Candide ou l’Optimisme « il nous raconte la minimisation de la guerre. De plus il dénonce également l’optimisme c’est-à-dire l’attitude de ceux qui prétendent que tout est pour le mieux dans le monde, puis il évoque les différentes idées des lumières portées sur la liberté, la raison, la tolérance, l’égalité et le progrès. Voltaire utilise l’ironie pour nous présenter ses différents arguments ainsi que des figures de styles diverses comme l’hyperbole ou l’oxymore. L’extrait de texte choisi suscite la réflexion chez les lecteurs.
           Nous souhaitons étudier le point de vue de l’écrivain par rapport à la guerre. Tout d’abord, Voltaire emploi régulièrement l’ironie dans ses textes, par exemple dans celui-ci pour montrer l’incompréhension et l’absurdité de la guerre, il compare le canon à un instrument de musique dans les premières lignes. Il prétend avec ironie que les instruments de musique : « Formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. « ligne 3.
Voltaire utilise le champ lexical de la mort tel que : « Mourants et morts « à la ligne 16 ainsi que : « Donner la mort « lignes 23-24 l’utilisation du champ lexical de la mort va permettre à l’écrivain de montrer le nombre important de morts. Il utilise un autre champ lexical qui est celui du massacre pour nous prouver que la guerre est une « boucherie « (l.12). A travers ce texte nous pouvons remarquer l’atrocité de cette guerre comme on le voit à la ligne 18-19 : « Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leur femmes égorgées. «. Des jeunes femmes dans cet extrait furent violées puis éventrées.
Nous avons l’impression que ce sont des objets, des machines et non des humains qui tuent les hommes. C’est une tuerie, un carnage. Voltaire prouve qu’il n’y a rien de beau dans la guerre. C’est loin d’être une belle action que de la faire. Il conteste les conceptions héroïques de la guerre et dénonce la minimisation des conséquences de celle-ci. Voltaire explique que cette guerre n’aura servi à rien à par tuer des milliers de personnes. Il se passe la même chose dans les deux villages. Nous ne savons pas pourquoi les hommes décident de se battre, il n’y aura ni de perdant ni gagnant mais le même nombre de morts dans les deux villages. 

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