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VILLON, François (vers 1431-vers 1463) Poète C'est sous le nom de François de Montcorbier ou de François des Loges que paraît, en 1449, dans les registres de l'université de Paris, le nom d'un jeune homme, reçu bachelier à la faculté des arts.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : VILLON, François (vers 1431-vers 1463) Poète C'est sous le nom de François de Montcorbier ou de François des Loges que paraît, en 1449, dans les registres de l'université de Paris, le nom d'un jeune homme, reçu bachelier à la faculté des arts. Ce document contient 258 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« VILLON, François (vers 1431-vers 1463) Poète C’est sous le nom de François de Montcorbier ou de François des Loges que paraît, en 1449, dans les registres de l’université de Paris, le nom d’un jeune homme, reçu bachelier à la faculté des arts.

Il a alors dix-huit ans.

Rixes et vols l’obligent à quitter Paris, en 1455.

La lettre de rémission, qui lui permet de revenir à Paris, précise cette fois à son propos : “ Maître François des Loges autrement dit Villon ”. Ce maître-là, qui a pris le nom de son professeur, Guillaume Villon, vole cinq cents écus d’or dans le collège de Navarre, en 1456.

Une fois de plus, il doit fuir Paris.

Il est à Angers où il vole encore.

Il est à Bourges, il est à Blois, chez Charles d’Orléans .

En 1461, il est dans les prisons de l’évêque d’Orléans à Meung-sur-Loire.

Il revient à Paris en 1562 et s’y retrouve une nouvelle fois emprisonné, cette fois au Châtelet, pour vol encore.

Il ne sort de prison que le 7 novembre 1463.

A cause d’une rixe, il est condamné à être pendu et étranglé.

Il fait appel.

Il est banni pour dix ans de Paris.

Et il disparaît.

Ses poèmes en octosyllabes, ou en décasyllabes passent de la trivialité au lyrisme, de l’immoralisme à la foi, de la sensualité au pessimisme.

Qui plus est, ils reprennent à leur compte l’argot des Coquillards, malfaiteurs du XV e siècle, aussi bien que le vocabulaire élaboré de la Sorbonne.

Cette liberté fonde l’une des exigences de la langue française.. »

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