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Université des Sciences et Technologies de LilleUnité de Glycobiologie Structurale

Publié le 22/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Université des Sciences et Technologies de LilleUnité de Glycobiologie Structurale Ce document contient 1004 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Médecine.

« Université des Sciences et Technologies de Lille Unité de Glycobiologie Structurale et Fonctionnelle, UMR CNRS/USTL 8576 Licence de Sciences et Technologies B (S3) UE Génétique formelle et moléculaire (Toutes les sections : 1, 2, 3 et 4) Contrôle continu 25 novembre 2006 Durée : 2 heures ; Les moyens de communications avec l’extérieur sont interdits (les téléphones portables et autres appareils de ce genre).

Les documents sont interdits.

Les calculatrices sont autorisées.

Exercice n°1 (5 points ; temps estimé : 40 min) Chez le ver à soie, une hémolymphe normale est dure et présente une couleur jaune foncé.

La coloration est due à l’action d’un allèle dominant d’un gène, noté Y +, situé à 25.6 unités cartographique (U.C) depuis l’extrémité du chromosome.

A l’état homozygote récessif, Y, la couleur de l’hémolymphe est rouge vermillon.

L’étude de mutants affectés dans le développement de l’hémolymphe indique l’existence d’un autre gène, noté Rc +, situé à 6.2 U.C du locus Y +.

Il est responsable de fermeté de l’hémolymphe.

A l’état homozygote récessif, Rc, l’hémolymphe perd sa dureté (elle devient souple).

Entre ces deux loci, un troisième gène a été identifié à 26.7 U.C depuis l’extrémité du chromosome.

A l’état homozygote récessif, oa, les cocons présentent des taches translucides.

Les loci Rc + et oa + sont séparés par 5.1 U.C l’un de l’autre.

Une lignée pure produisant des cocons rouge vermillon, fermes, avec des taches translucides est croisée avec une autre lignée pure produisant des cocons normaux (sans taches translucid es) mais souples.

Les individus F1 mâles font ensuite l’objet d’un croisement-test dont on analyse 3000 descendants.

On suppose que la coïncidence est de 10%.

a) Dessiner d’après les informations ci-dessus une des organisations possibles des trois gènes sur le chromosome.

(1 point) b) Prévoir les effectifs des différentes classes phénotypiques dans la descendance du test-cross d’une descendance composée de 1000 individus (arr ondir au nombre entier le plus proche).

(3 points) c) Sur la base des probabilités combien faudrait-il d’i ndividus de la F2, en plus pour que l’on puisse observer un descendant dans chacune d es classes double-recombinées ? (1 points) Exercice n°2 : (5 points ; temps estimé : 20 min) On croise entre elles deux souches pures de pois, l’ une de phénotype [lisse, terminal, violet, bosselé], l’autre de phénotype [ridé, axial, blanc, plein].

On observe en F1, 100% de graines ou de plants de phénotype [lisse, axial, violet, plein] et en F2 tous les phénotypes compatibles avec les proportions mendéliennes sachant que chaque varia tion phénotypique, pour l’aspect de la graine, la position de la fleur, sa couleur, et l’aspect de la gousse, est sous la dépendance d’un couple d’allèles et que les quatre gènes concernés sont sur des chromosomes différents.

a) Quelles conclusions peut-on tirer de la F1.

(1 point) b) En F2, quel est le phénotype le plus fréquent.

Faites en la démonstration mathématique.

(1 point) c) En F2, quel est le phénotype le plus rare.

Fait es en la démonstration mathématique.

(1 point) d) En F2, avec quelle fréquence observe-t-on l’un ou l’autre des phénotypes parentaux ? (1 point) e) Si la F1 était croisée en testcross, combien de phénotypes différents pourrait-on observer et dans quelles proportions ? (1 point). »

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