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Une bonne histoire comporte-t-elle toujours une fin attendue ?

Publié le 09/12/2021

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« Certaines personnes pensent que la lecture est un moment de détente ;et d'autres pensent qu'elle sert à s'évaderdu quotidien.

Quand ces personnes parlent de leurs lectures, elles mentionnent en particulier les sensations qu'elleséprouvent à l'approche de la fin.

Certaines œuvres nous font éprouver des sentiments nouveaux ou encore noussurprennent.

Ces instants de suspens qui animent nos lectures sont des sensations à expérimenter.La qualité d'une histoire dépend-t-elle toujours de sa fin ;à savoir : une fin prévisible ou non ?Nous étudierons tout d'abord le cas des histoires dont la fin est inattendue et par la suite, nous verrons celui deshistoires dont la fin est prévisible. Dans un premier temps, nous allons voir l'intérêt de choisir une fin imprévue.Cette technique est utilisée, tout d'abord, pour attirer l'attention du lecteur jusqu'à la dernière ligne.

Ainsi lesuspens reste entier.

Ce choix est judicieux notamment pour les romans policiers comme Le Mystère de la chambrejaune de Gaston Leroux.

Lorsque le reporter Rouletabille annonce qui est le vrai coupable, le lecteur tombe desnues.

Il était presque impossible de le deviner et il faut donc le lire jusqu'à la fin.Ensuite, une fin imprévue soumet le lecteur à plusieurs émotions.

Cela peut provoquer de la frustration, voire de lapeine comme dans L'ami retrouvé de Fred Uhlman, qui se termine par l'annonce de la mort de l'ami d'enfance duhéros.

Le lecteur est touché car il s'était identifié aux personnages depuis le début de l'histoire.Plus la fin est choquante, plus le lecteur s'en souviendra.

Car l'histoire aura suscité de réels émotions. Maintenant, ce sont les histoires dont la fin est attendue auxquelles on s’intéressera.Tout d'abord, il y a les histoires dont la fin est logique.

C'est le cas pour les contes ou les fables, car l'histoire setermine toujours par une morale, où en quelques sortes, les « méchants » sont toujours punis.

C'est le cas dansBarbe bleue de Perrault.

Ce conte met en scène un homme qui dégoute toutes les femmes ; et qui, à la fin, se faittuer par les deux frères de sa compagne.Enfin il y a les histoires dont la fin est prévisible comme dans théâtre tragique qui, comme son nom l'indique, setermine par une mort certaine du héros et de son entourage.

Comme par exemple dans Dom Juan de Molière, oùpresque tous les personnages périront ou seront malheureux.Quoiqu'il en soit, une fin prévisible fera perdre de la valeur à l'ensemble de l’œuvre, car le lecteur restera sur sa faim. En définitive, on retiendra qu'une bonne histoire peut autant avoir une fin attendue qu'inattendue.

Ainsi certainespersonnes trouveront que les histoires se terminant par une chute sont meilleures que les histoires dont la fin estprévue à l'avance.

Mais la plupart sont d'accord pour dire qu'un bon roman est celui qui à réussi à faire passer dessentiments à travers les mots, et qui a mis le lecteur en alerte tout au long du déroulement de l’histoire.

Une «bonne histoire »est une histoire qui a réussie à mêler quantité et qualité.Pour les exemples de cas où l'on connait déjà la fin, on peut découvrir le film inspiré de l’œuvre de Guy deMaupassant : Aux champs ; réalisé par Hervé Baslé.

L'histoire commence par le meurtre d'une mère, dont son fils estaccusé.

En suite, il a un flashback qui remonte assez loin en arrière. Ces derniers siècles ont amenés différents mouvements littéraires.

Dans chacun d'eux se trouvent des auteurs auxbuts tout aussi variés.

Une histoire est constituée d'étapes, qui retraçeront l'évolution d'un ou plusieurspersonnages, dans environnement réel ou fictif.

Tout récit possède une fin.

Celle-ci peut être préparer depuis ledébut, c'est à dire que les objectifs sont clairement dit ou qu'il est facile de les deviner.

Ou au contraire, le lecteursera totalement surpris voire choqué de la fin.

Une bonne histoire, c'est un vocabulaire exploité, de l'imagination, etune intrigue accrochante.Malgrés tout, certains pensent que la qualité du récit est en fonction de la fin.

Si une bonne histoire est celle dontla fin est calculé, il est tout aussi possible qu'une bonne histoire puisse se terminer par une chute inattendue, voiremême que la fin ne soit pas l'élément désisif pour déterminer une histoire « bonne » ou pas. En tout premier lieu, ce sont les histoires dont la fin n'est pas inattendue, auquelles on s'interessera.

Plusprécisément aux histoires dont la fin est connue.

Les récits autobiographiques tels que Les Confessions de Rousseauou Mémoires d'outre-tombe de Chateaubriand sont des très bons exemples.

Le lecteur en connaît l'issu puisque cesouvrages ont été publié après la mort des auteurs.

Le but de ces livres n'étaient donc pas de terminer en beauté,mais de faire une description de leurs époques, de leurs sociétés sans être pour autant objectif.

On peut doncconnaître la fin, sans que le désir de savoir comment cela va se réaliser soit affaibli.Puis, il y a les histoires dont la fin est logique.

C'est le cas pour les contes ou les fabliaux, car la fin se terminetoujours par une morale, où en quelques sortes, les « méchants » sont toujours punis.

C'est le cas dans « Du. »

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