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Un jeune homme a passé la journée de son mariage bloqué dans un ascenseur en compagnie d'un vieillard. Transformez cette information en deux brefs récits. D'abord dans l'intention d'émouvoir, puis d'amuser. Précisez les tons employés.

Publié le 09/12/2021

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Un jeune homme a passé la journée de son mariage bloqué dans un ascenseur en compagnie d'un vieillard. Transformez cette information en deux brefs récits. D'abord dans l'intention d'émouvoir, puis d'amuser. Précisez les tons employés.. Ce document contient 0 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature

« Un jeune homme a passé la journée de son mariage bloqué dans un ascenseur en compagnie d'un vieillard.Transformez cette information en deux brefs récits.

D'abord dans l'intention d'émouvoir, puis d'amuser.

Précisez les tons employés . Ce samedi matin, Claude se leva de bonne heure car ce jour n'était pas n'importe quel jour.

Ce jour devait être l'un des plus beaux de sa vie : à 10 heures, ilavait rendez-vous à la mairie avec Marie, celle qui allait devenir, après une simple signature, sa femme pour le restant de sa vie.

Puis, à 11h, les jeunesmariés se feraient bénir par le père Foucher.

Enfin, un grand festin attendrait tous les convives dans une propriété louée pour l'occasion.Toutefois, avant ce grand moment, C laude devait absolument passer à son bureau afin de signer un dossier avec un client.

De fait, à 7h30, il se trouva aupied de l'immeuble de son patron.

Il entra dans l'accueil et appela l'ascenseur.

Une minute après, il était dedans et l'ascenseur repartit.

Il fit une halte aupremier étage et un vieil homme entra.

Puis, les portes se refermèrent et ils montèrent au 6 e étage.

Toutefois, alors qu'ils étaient entre le 4 e et le 5 e étage, l'ascenseur se bloqua.

Claude soupira et regarda sa montre.

Le mieux était d'attendre sans s'irriter.

Le vieillard respira plus fort, le pauvre homme avaittoujours eu peur de ces machines volantes et il ne les prenait que parce que ses pauvres jambes ne lui permettaient plus de gravir les escaliers.

Il avait pumonter un étage à pieds, mais pas deux.

Un quart d'heure passa.

Claude commença à s'inquiéter.

Il n'avait pas beaucoup de temps devant lui, il fallaitabsolument qu'à 8h30, il soit chez son frère car il devait s'habiller, aller chez le coiffeur, passer chercher l'alliance chez le bijoutier et être à 9h50 devant lamairie.

Le vieil homme qui pâlissait de plus en plus s'adressa au jeune homme :- Excusez-moi, monsieur, croyez-vous que nous allons être bloqués longtemps ?- Je ne l'espère pas, répliqua Claude.

Il appuya sur la sonnerie d'alarme, mais celle-ci était désactivée.

Quel idiot, ajouta Claude, j'ai oublié mon portable !- Je n'en ai pas non plus, dit le vieil homme.

Je n'ai qu'un téléphone fixe, je n'ai jamais pu me faire à ces minuscules engins que l'on amène partout…Le temps passa.

Les deux passagers devenaient de plus en plus nerveux, Claude par peur d'être en retard, le vieillard par peur de rester bloqué dans cetengin.À 8h25, Paul, qui regardait tout le temps sa montre avec inquiétude, commença à vraiment s'agiter.

Il se mit à crier, à tambouriner des poings, maispersonne ne l'entendait.Les deux prisonniers firent connaissance.

Le vieil homme était en fait le client que Claude attendait.

Cela voulait dire que personne d'autre ne devait entrerdans l'immeuble ce samedi…Le temps passait et l'inquiétude augmentait.À 9h40, Paul était pâle, très pâle.

Qu'allait penser Marie ? Elle qu'il aimait tant, allait-elle croire qu'il la fuyait, qu'il l'abandonnait sans aucune nouvelle lejour de leur mariage ? Elle qui était si sensible, qui avait si peu confiance en elle, elle croirait facilement que, devant l'absence de son Claude, le jour de leurmariage, il avait fui avec une autre… Que faire ? Comment la prévenir ?Le jeune fiancé mais encore marié se rongeait les sangs.

Le vieil homme quant à lui, claustrophobe, se rongeait nerveusement les ongles tant il avait peur.Qu'ils étaient malheureux tous les deux.À 11h, Claude pleurait.

Il pleurait de gâcher si bêtement la plus belle journée de sa vie.

Il pleurait en pensant à la peine de sa Marie bien aimée qui devaitêtre complètement perdue et honteuse devant l'absence de son fiancé le jour même de leur mariage… À vous de continuer ce récit, en insistant sur le pathétique de la situation...Ton pathétique… ***Ce samedi matin, C laude se leva de bonne heure car ce jour n'était pas n'importe quel jour.

Ce jour devait être l'un des plus beaux de sa vie : à 10 heures, ilavait rendez-vous à la mairie avec Marie, celle qui allait devenir, après une simple signature, sa femme pour le restant de sa vie.

Puis, à 11h, les jeunesmariés se feraient bénir par le père Foucher.

Enfin, un grand festin attendrait tous les convives dans une propriété louée pour l'occasion.

Il était heureux àl'avance.À 7h30, le jeune fiancé, le pas alerte, le visage souriant entrait dans l'immeuble de son bureau.

Il appela l'ascenseur et, une fois à bord, s'admira dans lemiroir.

Il était beau, jeune, il allait se marier, tout allait bien.

Il se perça un petit point noir qui le gênait, mais arrêta vite cette petite charcuterie car au 2eétage, un vieil homme entra.

Il était tout suant, car il avait gravi les marches jusqu'au premier étage mais son corps n'était plus aussi fringuant que vingtans auparavant ! L'ascenseur repartit mais entre le 5 e et le 6 e étage, il se bloqua. - Flûte, s'écria le vieil homme !- Zut, maugréa le fiancé, j'espère que ça ne va pas durer longtemps car je suis pressé moi.

Zut de zut, j'ai oublié mon portable ! Impossible de prévenirMarie…- Et ce bouton d'appel d'urgence qui n'est pas capable de marcher, grogna le vieillard.

Pour tenter de le faire fonctionner, il lui donna un coup, mais à part sefaire mal, cela ne fit rien.Le temps passa et nos prisonniers s'énervaient.

Ils firent connaissance tout en regardant leur montre.- Ma future femme va penser que je suis parti avec ma secrétaire ! Quelle déveine ! Il est déjà 10h30… Que doit penser le maire, et tous nos invités ?Les deux hommes crièrent, hurlèrent, tambourinèrent.

Ils n'avaient plus de voix et s'étaient égosillés pour rien.

Le vieil homme avait grimpé sur le fiancépour essayer d'ouvrir la trappe du dessus, mais rien à faire.

Il avait sali la veste de C laude inutilement.

À 14h, ils étaient usés et affamés.

Leur ventre gargouillait.- Je suis largement en retard pour le déjeuner ! Ma femme, car j'ai eu la chance de ne pas être coincé dans un ascenseur le jour de mon mariage, moi ! Etbien ma femme, elle voit croire que je fais la cour à ma pédicure.

Elle savait que j'avais un rendez-vous pour régler un dossier pour ma retraite mais ensuiteje devais aller me faire masser les pieds.

Et bien, ne me voyant pas revenir, elle va se faire des idées ! Vous savez, à 78 ans, elle est toujours aussi jalousequ'à 18 ! À vous de continuer en jouant sur la tonalité comique : comique de mots, de situation, de geste…. »

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